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Wednesday a écrit:

Ça me semble chaud, j'ai l'impression qu'il considère se connaître assez bien désormais pour ne plus faire appel à un producteur (je sais plus où je l'ai lu mais il avait dit un truc comme ça).

D'où l'utilité d'un peu d'humilité.
Même quand on est bourré de talent, il est bon de connaître ses points faibles et ses limites.

dr.out a écrit:

Même quand on est bourré de talent, il est bon de connaître ses points faibles et ses limites.

Bob Dylan n'a pas de limites. Ce sont ses auditeurs qui en ont.

Things have changed est-elle produite par Jack Frost ? J'étais en train de me poser la question.

Mr. Oyster a écrit:

Things have changed est-elle produite par Jack Frost ? J'étais en train de me poser la question.

Nan.
C'est Don DeVito aux manettes, une vieille connaissance.
Il me semble pas qu'on ait des masses d'informations sur cette session d'enregistrement, sinon.
Il met en boîte le truc au début de l'année 99 - c'est d'ailleurs sa seule et unique activité en studio cette année-là.
Enfin à ma connaissance.

Mr. Oyster a écrit:

dr.out a écrit:

Même quand on est bourré de talent, il est bon de connaître ses points faibles et ses limites.

Bob Dylan n'a pas de limites. Ce sont ses auditeurs qui en ont.

Dylan n'est pas un excellent producteur, il est juste bon. Elle est là sa limite.
Un peu comme en peinture, mais là, il est carrément mauvais.

dr.out a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

dr.out a écrit:

Même quand on est bourré de talent, il est bon de connaître ses points faibles et ses limites.

Bob Dylan n'a pas de limites. Ce sont ses auditeurs qui en ont.

Dylan n'est pas un excellent producteur, il est juste bon. Elle est là sa limite.
Un peu comme en peinture, mais là, il est carrément mauvais.

Dylan est un excellent peintre. Surtout quand il signe ses peintures - faut voir l'application qu'il y met.

Dylan dessinerait des chibres sur l'arrière des fourgonnettes cradoques de son quartier, Mr Oyster trouverait ça formidable.

Mr. Oyster a écrit:

dr.out a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

dr.out a écrit:

Même quand on est bourré de talent, il est bon de connaître ses points faibles et ses limites.

Bob Dylan n'a pas de limites. Ce sont ses auditeurs qui en ont.

Dylan n'est pas un excellent producteur, il est juste bon. Elle est là sa limite.
Un peu comme en peinture, mais là, il est carrément mauvais.

Dylan est un excellent peintre. Surtout quand il signe ses peintures - faut voir l'application qu'il y met.

Je préfère la grâce qu'il met quand il nettoie ses pinceaux, du talent à l'état pure.

The Loner a écrit:

Dylan dessinerait des chibres sur l'arrière des fourgonnettes cradoques de son quartier, Mr Oyster trouverait ça formidable.

Moi aussi, ça égaierait un peu le coin.
Et puis il faudrait surtout considérer la signification dans le contexte global de l'oeuvre.

Sa réputation le précède mais assurément l'un des meilleurs concerts du Never Ending Tour.

En fait, il n'y a que la version lente de Forever Young que je ne goûte guère (guère) dans cet album.
Sinon, je ne vois pas comment on peut ne pas aimer ce disque.
Elu "pochette de l'année" 1974.

Mr. Oyster a écrit:

En fait, il n'y a que la version lente de Forever Young que je ne goûte guère (guère) dans cet album.
Sinon, je ne vois pas comment on peut ne pas aimer ce disque.
Elu "pochette de l'année" 1974.

Vous ne trouvez pas que le personnage central a parfaitement le regard du Dylan d'aujourd'hui ?

Mr. Oyster a écrit:

En fait, il n'y a que la version lente de Forever Young que je ne goûte guère (guère) dans cet album.
Sinon, je ne vois pas comment on peut ne pas aimer ce disque.
Elu "pochette de l'année" 1974.

Moi, c'est l'autre....

Le re-découverte continue ! Je confirme, même si ce n'est pas flagrant, la qualité sonore, de toute façon est bien présente ! Et bien sur avec cette qualité, l'écoute est plus précise, et c'est là qu'on ne peut qu'aimer ces albums !

The Loner a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

En fait, il n'y a que la version lente de Forever Young que je ne goûte guère (guère) dans cet album.
Sinon, je ne vois pas comment on peut ne pas aimer ce disque.
Elu "pochette de l'année" 1974.

Moi, c'est l'autre....

Itou.

Mr. Oyster a écrit:

En fait, il n'y a que la version lente de Forever Young que je ne goûte guère (guère) dans cet album.
Sinon, je ne vois pas comment on peut ne pas aimer ce disque.
Elu "pochette de l'année" 1974.

Moi c'est l'ancre qui me perturbe.

Baptiste a écrit:

Sa réputation le précède mais assurément l'un des meilleurs concerts du Never Ending Tour.

C'est quel concert ?

Sinon, cette choe à pourchasser :

Bob Dylan - The Complete Supper Club Soundboard Recordings (6 Vinyl LPS+4CD) Live At New York City, November 16 & 17 , 1993,The Original Unplugged Concerts, Heavy & Coloured Virgin Vinyl 6LP'S Plus All Tracks On 4CD, Limited And Numbered. (SBD) Virgin Vinyl Records.VVR-001

(en attendant les monorecordingsmachinchose).

odradek a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

En fait, il n'y a que la version lente de Forever Young que je ne goûte guère (guère) dans cet album.
Sinon, je ne vois pas comment on peut ne pas aimer ce disque.
Elu "pochette de l'année" 1974.

Moi c'est l'ancre qui me perturbe.

C'est pour ne pas trop tanguer face aux "waves"...

Sinon, cette choe à pourchasser :

Bob Dylan - The Complete Supper Club Soundboard Recordings (6 Vinyl LPS+4CD) Live At New York City, November 16 & 17 , 1993,The Original Unplugged Concerts, Heavy & Coloured Virgin Vinyl 6LP'S Plus All Tracks On 4CD, Limited And Numbered. (SBD) Virgin Vinyl Records.VVR-001

(en attendant les monorecordingsmachinchose).[/quote]
Le coffet vinyl est tiré à 500 exemplaire me semble-t-il?

http://www.discogs.com/sell/list?release_id=2461387&ev=rb

Les shows du Supper Club, j'espère surtout qu'on aura un beau Bootleg Series qui leur sera consacré.
Audio et vidéo, par exemple.

odradek a écrit:

Baptiste a écrit:

Sa réputation le précède mais assurément l'un des meilleurs concerts du Never Ending Tour.

C'est quel concert ?

Une compilation des deux shows de Philadelphie en 1995.
Des concerts joués dans un petit théâtre de 1000 personnes, ce qui rend l'atmosphère particulière.

Chères chansons, orchidées germées dans la fange, ajoutant le parfum de l'art aux remugles d'une existence en putréfaction, vous fleurissez étrangement dans ce bureau où il ne se passe rien, excepté qu'il y vit un mort.

J'aime bien les vilains canards

vox populi a écrit:

J'aime bien les vilains canards

Moi aussi.
Comme le disait Oyster, il n'y a pas si longtemps, 'In the Summertime', 'Trouble' et 'Property of Jesus' sont d'excellents morceaux.

dr.out a écrit:

vox populi a écrit:

J'aime bien les vilains canards

Moi aussi.
Comme le disait Oyster, il n'y a pas si longtemps, 'In the Summertime', 'Trouble' et 'Property of Jesus' sont d'excellents morceaux.

Vous êtes frapadingues... Vous diriez: "des morceaux pas si mauvais", soit, mais "d'excellent morceaux"...

Baptiste a écrit:

Les shows du Supper Club, j'espère surtout qu'on aura un beau Bootleg Series qui leur sera consacré.
Audio et vidéo, par exemple.

Surtout quand on sait que la video existe...

Le volume 3 du Bootleg series volume 8 (merci baptiste ) ..Quelle version de Cold Irons Bound Nom de Diou!!! elle vient d'où??

dr.out a écrit:

vox populi a écrit:

J'aime bien les vilains canards

Moi aussi.
Comme le disait Oyster, il n'y a pas si longtemps, 'In the Summertime', 'Trouble' et 'Property of Jesus' sont d'excellents morceaux.

Excellents, n'exagérons rien... Mais ils donnent la patate.