Un livre sur Dylan

Vous commencez à écrire un livre sur Dylan - quelle serait votre première phrase ?

Pour ma part, elle toute trouvée :

Bob Dylan est un artiste confus, sauf quand il ne l'est pas.

A vous !

Il est plus vivant à l'extérieur qu'à l'intérieur

Old Maid a écrit:

Il est plus vivant à l'extérieur qu'à l'intérieur

Et ta deuxième phrase ???

J'avoue que moi aussi...

Alors, celle-ci ?

A celui qui me désosse...

Old Maid a écrit:

J'avoue que moi aussi...

Alors, celle-ci ?

A celui qui me désosse...

Je préfère. Ceci dit, la phrase me semble un peu courte, non ?

odradek a écrit:

Old Maid a écrit:

J'avoue que moi aussi...

Alors, celle-ci ?

A celui qui me désosse...

Je préfère. Ceci dit, la phrase me semble un peu courte, non ?

Oui, en effet.

Le problème c'est que je parle (écrit) en tant qu'admiratrice.

La façon plus neutre :

Bob Dylan porte une peau de mouton mais a une voix de dragon. Mais il a définitivement gagné sa place au paradis.

Ne perdons pas de vue qu'il s'agit d'une première phrase, d'un embrayeur en somme - un truc pour (et faire) entrer à pieds joints dans le (l'hypothétique) livre.

Pas évident..

SI vous voulez écouter de la vraie musiique, ne chercher pas, Bob Dylan est la solution.

Non, trop banal..

j'aime bien la votre.

Old Maid a écrit:

Pas évident..

SI vous voulez écouter de la vraie musiique, ne chercher pas, Bob Dylan est la solution.

Non, trop banal..

j'aime bien la votre.

Odradek se fait vouvoyer. Old Maid est une gentlewoman, qu'on se le dise

Longtemps, je me suis efforcé de suivre l'ombre de sa silhouette dans l'herbe humide - elle laissait dans le jardin l'empreinte de son mutisme.

Bob Dylan est né un soir de l'année 2007, seul, dans ma tête, comme dans un noman's land inachevé, qu'il est venu habiter, peu à peu, et poser la pièce qui manquait à mon puzzle abandonné.

Reste une fin grandiose à trouver. C'est pas le tout d'écrire un début...

Gregor Samsa a écrit:

Reste une fin grandiose à trouver. C'est pas le tout d'écrire un début...

L'inachèvement a toujours été la meilleure des fins.

Gregor Samsa a écrit:

Reste une fin grandiose à trouver. C'est pas le tout d'écrire un début...

Il faudrait déjà voter pour la première phrase, et puis paufiner la deuxième. Aors la dernière...

Je sais, on n'est pas rendu...

jude a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Reste une fin grandiose à trouver. C'est pas le tout d'écrire un début...

L'inachèvement a toujours été la meilleure des fins.

Pas mal... Le concept du bouquin qui ne finit jamais...

Gregor Samsa a écrit:

jude a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Reste une fin grandiose à trouver. C'est pas le tout d'écrire un début...

L'inachèvement a toujours été la meilleure des fins.

Pas mal... Le concept du bouquin qui ne finit jamais...

A lire : L'entretien infini - Maurice Blanchot.

odradek a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

jude a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Reste une fin grandiose à trouver. C'est pas le tout d'écrire un début...

L'inachèvement a toujours été la meilleure des fins.

Pas mal... Le concept du bouquin qui ne finit jamais...

A lire : L'entretien infini - Maurice Blanchot.

Je note.

Au commencement était la ferveur, le bouillonnement ; Dylan est ce morceau de matière arraché d'indiscibles tempêtes d'étoiles, et dont ll'unique souci est ce tournoiement sans fin dans l'espace infini (sans perdre son chapeau).

( )

odradek a écrit:

Au commencement était la ferveur, le bouillonnement ; Dylan est ce morceau de matière arraché d'indiscibles tempêtes d'étoiles, et dont ll'unique souci est ce tournoiement sans fin dans l'espace infini (sans perdre son chapeau).

( )

C'est contagieux, dites-moi.

jude a écrit:

odradek a écrit:

Au commencement était la ferveur, le bouillonnement ; Dylan est ce morceau de matière arraché d'indiscibles tempêtes d'étoiles, et dont ll'unique souci est ce tournoiement sans fin dans l'espace infini (sans perdre son chapeau).

( )

C'est contagieux, dites-moi.

En attendant, nous n'avons encore rien lu de toi....

odradek a écrit:

jude a écrit:

odradek a écrit:

Au commencement était la ferveur, le bouillonnement ; Dylan est ce morceau de matière arraché d'indiscibles tempêtes d'étoiles, et dont ll'unique souci est ce tournoiement sans fin dans l'espace infini (sans perdre son chapeau).

( )

C'est contagieux, dites-moi.

En attendant, nous n'avons encore rien lu de toi....

Oui, au moins, on essaye.

Gregor Samsa a écrit:

odradek a écrit:

jude a écrit:

odradek a écrit:

Au commencement était la ferveur, le bouillonnement ; Dylan est ce morceau de matière arraché d'indiscibles tempêtes d'étoiles, et dont ll'unique souci est ce tournoiement sans fin dans l'espace infini (sans perdre son chapeau).

( )

C'est contagieux, dites-moi.

En attendant, nous n'avons encore rien lu de toi....

Oui, au moins, on essaye.

C'est que j'économise le peu de neurones qu'il me reste pour un projet autrement plus ambitieux.

jude a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

odradek a écrit:

jude a écrit:

odradek a écrit:

Au commencement était la ferveur, le bouillonnement ; Dylan est ce morceau de matière arraché d'indiscibles tempêtes d'étoiles, et dont ll'unique souci est ce tournoiement sans fin dans l'espace infini (sans perdre son chapeau).

( )

C'est contagieux, dites-moi.

En attendant, nous n'avons encore rien lu de toi....

Oui, au moins, on essaye.

C'est que j'économise le peu de neurones qu'il me reste pour un projet autrement plus ambitieux.

Tu comptes écrire le milieu du livre?

Gregor Samsa a écrit:

jude a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

odradek a écrit:

jude a écrit:

odradek a écrit:

Au commencement était la ferveur, le bouillonnement ; Dylan est ce morceau de matière arraché d'indiscibles tempêtes d'étoiles, et dont ll'unique souci est ce tournoiement sans fin dans l'espace infini (sans perdre son chapeau).

( )

C'est contagieux, dites-moi.

En attendant, nous n'avons encore rien lu de toi....

Oui, au moins, on essaye.

C'est que j'économise le peu de neurones qu'il me reste pour un projet autrement plus ambitieux.

Tu comptes écrire le milieu du livre?

Mieux, figure-toi : la quatrième de couverture.

jude a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

jude a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

odradek a écrit:

jude a écrit:

odradek a écrit:

Au commencement était la ferveur, le bouillonnement ; Dylan est ce morceau de matière arraché d'indiscibles tempêtes d'étoiles, et dont ll'unique souci est ce tournoiement sans fin dans l'espace infini (sans perdre son chapeau).

( )

C'est contagieux, dites-moi.

En attendant, nous n'avons encore rien lu de toi....

Oui, au moins, on essaye.

C'est que j'économise le peu de neurones qu'il me reste pour un projet autrement plus ambitieux.

Tu comptes écrire le milieu du livre?

Mieux, figure-toi : la quatrième de couverture.

Ah non,ça c'est moi !

ou laissez moi au moi la dédicace ..

Qui se charge des critiques?

Gregor Samsa a écrit:

Qui se charge des critiques?

Les socialistes?

Gregor Samsa a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Qui se charge des critiques?

Les socialistes?

Et les philistins.

jude a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Qui se charge des critiques?

Les socialistes?

Et les philistins.

De Brassens?