Together Through Life

Je vous conseille de l’acheter, c’est le dernier album de Bob Dylan ce compositeur américain né en en 1941 qu’on entend parfois dans les publicités écologiques, en tout cas grmb#!@"^!..

(Edit: il y a d'étranges fantômes qui squattent mes messages )

Ah, premiére nouvelle, Bob Dylan est toujours en vie.Et il est toujours avec Joan Bez?

As-tu eu l'incommensurable bonheur d'écouter cet album ?

Oui bien sur même si je ne l'ais pasencore acheté.
Je ne dirais qu'une chose: It's All Good.
Mais regarde plutot le topic "nouvel album", Baptiste se démmerde mieux que moi en chronique d'album.

Je pensais qu'ouvrir un nouveau topic maintenant que cet ovni est arrivé serait peut-être mieux pour rassembler les critiques.

Il faut remettre celle de Baptiste, assez réussi, même si les avis divergent sur les morceaux les plus réussis....

Loner² a écrit:

Il faut remettre celle de Baptiste, assez réussi, même si les avis divergent sur les morceaux les plus réussis....

J'ai voulu poster un truc assez rapidement, sans trop de recul.
Une sorte de photographie des premières impressions.
Je pense que dans quelques semaines, mes favorites pourront être toutes autres.
Je sens un gros potentiel derrière Life Is Hard, notamment.

EDIT : Je reposte ma review ici, alors, c'est vrai que c'est mieux de causer du disque dans un topic clairement identifié.

Depuis 20 ans, Dylan est complètement à part dans l’industrie de la musique. Pas au-dessus, pas en-dessous. A côté.
Qui d’autre que lui, au cœur d’une tournée européenne, oublierait ainsi qu’il a un album à promouvoir, défiant ainsi la règle la plus élémentaire de marketing ?
Dylan promène ses chapeaux et ses costards de petite frappe mexicaine partout dans le monde dans un dialecte qu’il semble le seul à maîtriser. Parfois, je me demande si ce vieux Dylan n’essaie pas tout simplement de reprendre la musique ricaine là où elle était avant qu’il débarque, qu’il essaie en quelque sorte d’effacer son passage. "Vous avez rêvé mes enfants, Dylan est un mirage, le fruit de votre imagination. L’americana, c’est blues, country, rockabilly. C’est Hank Williams et Buddy Holly".

Il y a un truc qui m’a immédiatement frappé à l’écoute de Together Through Life : Dylan se marre. Si, si, écoutez bien, ça se passe à la fin du terrifiant "My Wife’s Hometown" Pas un rire jubilatoire, non. Un rire qui va avec le costume. Un rire gras, vicieux. Le rire de chef de gang, le rire qui fout les jetons à tout le monde, le rire du mec qui domine la mêlée et qui le sait. Le rire du patron. Le rire de celui qui n’a pas besoin de montrer ses muscles pour que tout le monde sache qu’il est le plus fort.
Et effectivement, c’est le plus fort.
Sans forcer.
Parce que TTL, c’est un disque décontracté. En roue libre.
De toute manière, dans la catégorie "grave et crépusculaire", il ne fera jamais mieux que "Time Out Of Mind". Alors autant faire dans le léger.
Comme d’hab, ce qui te saute tout de suite à la gueule sur un disque du Zim, c’est cette putain de voix. Jamais, je crois, je ne l’avais entendue aussi crue. Pas de filtre. Pas de distance. Dylan en prise direct. A l’os. Une présence incroyable, la clé de voûte de l’édifice. Chaque syllabe t’envoie une poignée de sable dans les yeux. Parfois mêmes des cailloux. Rauque. Profonde. Unique. Et sur "Life Is Hard", il prend tout le monde à contre-pied, un cassage de rein à la Maradonna. Voix de fausset. Le 3,5 tonnes qui essaie de traverser les rues piétonnes d’un centre-ville sans renverser tout le monde. Et on voudrait nous faire croire que sa voix est un problème. Ah ah.
J’ai lu ici où là qu’il manquerait des grandes chansons. Peut-être, faut voir à l’usage. N’empêche, comme ça, de prime abord, j’en vois deux qui ont le potentiel. "I Fell A Change Comin On", mais ça tout le monde le sait. Mais aussi "If You Ever Go To Houston". Je crois que le vers “I you ever go to Daaaaallllllaaaaassss” est mon vers préféré du disque sans que je ne sache pourquoi. Le gimmick à l’accordéon, la promenade vocale du Zim…J’ai tout de suite accroché. Je retrouve un peu le souffle narratif d’un "Franckie Lee".
Le gros point positif par rapport à Modern Times, c’est que les chansons "enlevées" sont réussies. Je mets "It’s All Good" de côté, le seul truc inutile du disque. Mais "Jolene" et "Shake Shake Mama" sont jubilatoires et bien moins ronronnantes que "Rollin & Tumblin" ou "The Levee’s Gonna Break".
Après, j’ai trois chansons que je n’évoquerais pas tout de suite parce que je ne serai pas quoi en dire. Pas encore cerné le truc, quoi. Il s’agit de "Life Is Hard", "Forgetful Heart" et "This Dream Of You". Ce me semble un cran en-dessous que “Nettie Moore”, par exemple, mais ça peut aussi prendre une autre dimension au fil des écoutes…

Sinon, Dylan est amoureux. Reste à savoir de qui. Ou de quoi. Il y a "This Dream Of You". S’adresse-t-il à une femme en particulier ? Ou ce rêve est-il la métaphore de l’amour en général ? La thématique semble tellement omniprésente qu’elle semble faire écho à ce que vit le Zim en ce moment. A ce titre les vers "And I see my baby coming / She's walking with the village priest” peuvent être lus comme une référence à un mariage. Et dans "This Dream Of You", il y a ce passage qui peut laisser penser que le nouvel amour du Zim est, en fait, un ancien amour ressuscité : "There’s a moment when / All old things become new again".
Mais au niveau des textes, ça reste à creuser. J’ai chopé des trucs par-ci, par-là, mais je n’ai pas encore écouté l’album avec les paroles sous les yeux. Je crains, cependant, que l’exercice ne soit pas aussi intéressant que sur « Time Out Of Mind », par exemple. La collaboration avec Hunter me fait penser que l’on aura pas grand chose à gratter de ce côté-là…

Voilà, c’est un très bon disque. Pas un chef d’œuvre, mais un très bon disque. Plus proche de Love & Theft que de Modern Times. Ni au-dessus, ni en-dessous. A côté.

Baptiste a écrit:

Loner² a écrit:

Il faut remettre celle de Baptiste, assez réussi, même si les avis divergent sur les morceaux les plus réussis....

J'ai voulu poster un truc assez rapidement, sans trop de recul.
Une sorte de photographie des premières impressions.
Je pense que dans quelques semaines, mes favorites pourront être toutes autres.
Je sens un gros potentiel derrière Life Is Hard, notamment.

EDIT : Je reposte ma review ici, alors, c'est vrai que c'est mieux de causer du disque dans un topic clairement identifié.

Pas de modestie, c'est très bien tourné.

https://bdylan.forumactif.com/l-actualite-f1/together-through-live-t1082.htm

Loner² a écrit:

Pas de modestie, c'est très bien tourné.

Ah mais j'ai fait un effort de mise en forme.
C'est juste que sur le fond, c'est bâti autour des premières impressions.

J'ai lu pas mal de reviews depuis une semaine.
J'ai l'impression que je suis l'un des seuls à mettre "If You Ever Go To Houston" dans les grosses réussites du disque alors que c'est vraiment celle que j'ai eu tout de suite envie de réécouter après ma première écoute.

Cet accordéon omniprésent, un peu déstabilisant au début - comme l'avait été le violon de Scarlett Rivera à la toute première écoute de Desire - commence franchement à me séduire.

odradek a écrit:

https://bdylan.forumactif.com/l-actualite-f1/together-through-live-t1082.htm

Acheté aujourd'hui !

On dirait que DYLAN est sorti du film I'm not there, juste après la scène avec Richard GERE et la chanson Going to Acapulco.
L'ambiance de la pochette des Basement Tapes, ce recul, cette musique aux accents chicanos, la voix, cette voix plus claire qu'en live, mais qui se pose, survole, décroche la musique.
J'ai écouté deux fois en bloc, forte impression, pas encore décortiqué; mais l'ambiance globale est bonne.
Important l'ambiance, une unité une couleur,
Les images, les sensations du concert d'avril, ce côté, je suis là, je fais un nouveau CD sans le jouer sur scène (et je vous emmerde?)
Qui d'autre que lui peut le faire sans être ridicule?
Y retourner, le prendre chanson par chanson, un nouveau DYLAN, un trésor de plus, une brique sur le mur

Michel a écrit:

J'ai écouté deux fois en bloc, forte impression, pas encore décortiqué; mais l'ambiance globale est bonne.
Important l'ambiance, une unité une couleur,

Je l'ai ré-écouté 136 (ou 142) fois aujourd'hui, et, et, et, malgré tout, je dois dire que, justement, cette unité... Il y en a peut-être un peu trop, d'unité. L'humeur est stable, tandis que j'aurais aimé monts et vallées - toucher le fond, viscères nouées, voilà où cela m'émeut d'aller avec le vieux Bob. Il manque de zones d'ombre, voyez. Il manque d'Ain't Talkin'.

Mais c'est un disque pour être heureux, et dieu que la vaisselle se lave mieux en écoutant Together Through Life !

La bonne nouvelle, de mon côté, c'est que j'ai aujourd'hui acquis la certitude que ce disque était un grower.

En tout cas l'album à l'air de bien marcher:
http://www.nme.com/news/bob-dylan/44316

"Bob Dylan's new album 'Together Through Life' is provisionally sat on top of the UK album chart, with the mid-week sales"

Ce serait donc son premier numéro 1 depuis New Morning, clin d'oeil amusant lorsque l'on connaît le climat similaire qui préside les deux albums.

Modern Times, déjà, s'était bien vendu, en tous cas.

Je pense que ça serait pas mal de poster les chroniques au fur et à mesure de leur sortie.

Celle du Monde, hier.

Citation :

Accordéon et romances blues pour Bob Dylan

istoire de montrer qu'il n'est pas déconnecté des temps modernes, Bob Dylan, 67 ans, avait mis en ligne en téléchargement gratuit sur son site (www.bobdylan.com) la première chanson de son trente-troisième album studio depuis 1962, Together Through Life, durant une journée, le 30 mars.


Ledit album, proposé en téléchargement légal et payant depuis le 22 avril, arrive sur support CD sans être passé de manière flagrante par la case du piratage qui accompagne toute sortie importante dans le rock et la pop. Signe de respect ou désintérêt du public qui s'était rué sur les nouveaux Metallica, Guns & Roses ou U2 ?

Together Through Life (Ensemble à travers la vie) comprend dix chansons dont le climat général évoque une virée tex-mex - mélange country-folk des deux bords du Rio Grande - avec accordéon et mandoline ou blues électrique, rêche, urbain.

En 1997, l'album Time Out of Mind, avait remis phonographiquement Bob Dylan en selle (sur scène, il poursuit sa "tournée sans fin" ; il était à Paris début avril et à Strasbourg le 21 avril), un peu comme lorsqu'en 1989, la parution de l'album Oh Mercy avait refait parler de lui en bien.

Les deux albums qui ont suivi, sans être aussi bons, confirmaient les dispositions de Dylan à graver des chansons solides et à manifester de l'intérêt à les interpréter. Love And Theft (2001) était plutôt blues-country et rockabilly avec des éléments de swing des années 1920 et 1930. Modern Times (2006) était similaire, avec un petit effet de redite.

Together Through Life continue cette exploration des genres sans faire entendre de bouleversements fracassants en dehors d'une place importante faite à l'accordéon. Le bassiste Tony Garnier conduit un groupe solide avec notamment le guitariste Mike Campbell. La production est signée Jack Frost, Dylan sous pseudonyme, ce qui donne un côté fait à la maison qui cadre bien avec le propos.

A part une chanson, les textes sont présentés comme de Dylan et Robert Hunter, compagnon d'écriture de Jerry Garcia et du Grateful Dead. Pour autant on ne grimpe pas vers les hauteurs cosmiques du psychédélisme, l'ambiance étant plus à la romance.

A part le ratage du deuxième titre, Life is Hard, mal chanté et sans allant, Together Through Life va son plaisant petit bonhomme de chemin. Avec trois réussites : My Wife's Home Town, plus blues que blues, Dylan menant, en comédien, sa voix vers des profondeurs rauques ; Jolene, qui dans le même registre blues, se fait joueur avec les clichés du genre ; I Feel a Change Comin'On, qui pourra rappeler la première collaboration de Dylan avec The Band, en 1967, dans le sous-sol de la maison du groupe à Big Pink.

Sylvain Siclier

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Il a composé pour Dahan

Bob Dylan a composé des chansons pour le prochain film d'Olivier Dahan, l'auteur de La Môme (2007), qui a pour titre My Own Love Song, dont le tournage se serait terminé à la fin 2008. Sur son site, Dylan explique : "Il m'avait demandé de composer quelques chansons. (...) J'avais vu son film sur la chanteuse Edith Piaf et je l'avais aimé. (...) Il n'était pas très précis sur ce qu'il souhaitait. La seule chose dont il était certain, c'est qu'il avait besoin d'une ballade (...) vers la fin du film." La chanson Life Is Hard, qui figure sur ce nouveau disque, a été composée à l'origine pour le film de Dahan.

Auteur de la bande-son de Pat Garrett and Billy the Kid (1973) de Sam Peckinpah, Dylan a rarement écrit directement pour le cinéma. On lui doit deux chansons dans Hearts of Fire (1987), dernier film de Richard Marquand, une reprise dans Tueurs nés (1994) d'Oliver Stone, une composition dans Wonder Boys (2000), de Curtis Hanson, et de nouvelles versions de chansons dans Masked & Anonymous (2003), de Larry Charles.

Bonne idée Baptiste !

Si j'en trouve,je les posterais ici.

Bon, j'ai enfin acheté l'album.Ca fait plaisir tout ces bonus, surtout pour le prix.Si le nouveau Neil Young avait des bonus aussi sympas, j'aurais peut être acheté son album.

deafbillieblackbell a écrit:

Bon, j'ai enfin acheté l'album.Ca fait plaisir tout ces bonus, surtout pour le prix.Si le nouveau Neil Young avait des bonus aussi sympas, j'aurais peut être acheté son album.

Bob Dylan 1
Neil Young 0 !

En fait, je dis ça parce que j'ai téléchargé le dernier Neil Young mais les chansons son trop "faibles" pour que je l'achéte (à par une, "Light A Candle").Mais je crois que si il y avait un beau packaging, avec des bonus intéressants j'aurais pu mettre 20€ dessus.

deafbillieblackbell a écrit:

En fait, je dis ça parce que j'ai téléchargé le dernier Neil Young mais les chansons son trop "faibles" pour que je l'achéte (à par une, "Light A Candle").Mais je crois que si il y avait un beau packaging, avec des bonus intéressants j'aurais pu mettre 20€ dessus.

Je comprend.
J'ai le même point de vue.
Je pense que cet album est pour le fan ultime de neil young.

Baptiste a écrit:

Ce serait donc son premier numéro 1 depuis New Morning, clin d'oeil amusant lorsque l'on connaît le climat similaire qui préside les deux albums.

Modern Times, déjà, s'était bien vendu, en tous cas.

Tiens, jaimerais bien qu'on m'explique en quoi ?

Noulé a écrit:

Michel a écrit:

J'ai écouté deux fois en bloc, forte impression, pas encore décortiqué; mais l'ambiance globale est bonne.
Important l'ambiance, une unité une couleur,

Je l'ai ré-écouté 136 (ou 142) fois aujourd'hui, et, et, et, malgré tout, je dois dire que, justement, cette unité... Il y en a peut-être un peu trop, d'unité. L'humeur est stable, tandis que j'aurais aimé monts et vallées - toucher le fond, viscères nouées, voilà où cela m'émeut d'aller avec le vieux Bob. Il manque de zones d'ombre, voyez. Il manque d'Ain't Talkin'.

AH VOUS VOYEZ : IL MANQUE UN MORCEAU SOUS LES ETOILES DE 9MN47, OU UN AIN'T TALKIN' DES FAMILLES.

(Pour finir la vaisselle ? ).

Ps : 9MN47 c'est exactement ce qui manque, j'ai mesuré...

odradek a écrit:

Baptiste a écrit:

Ce serait donc son premier numéro 1 depuis New Morning, clin d'oeil amusant lorsque l'on connaît le climat similaire qui préside les deux albums.

Modern Times, déjà, s'était bien vendu, en tous cas.

Tiens, jaimerais bien qu'on m'explique en quoi ?

Deux disques décontractés, on va dire.

odradek a écrit:

[AH VOUS VOYEZ : IL MANQUE UN MORCEAU SOUS LES ETOILES DE 9MN47, OU UN AIN'T TALKIN' DES FAMILLES

Il y a un morceau que je trouve assez proche de Ain't Talkin : Forgetful Heart.
Il est plus court, mais l'humeur qui s'en dégage me semble être comparable.
L'intro, déjà...

Citation :

Je pense que ça serait pas mal de poster les chroniques au fur et à mesure de leur sortie.

"It's a powerful personal work by a man who still thinks for himself in an era of fear, conformity, and dehumanization. That it rocks mightily makes the message even more compelling. Whatever the hell it gets called, it'll be in the running for Best Album Of 2009"
- Michael Simmons, MOJO

"...a raffish riff on romance...yarns, wry and real, of ordinary folks in the grip of lust, longing and heartache...Dylan has captured the vibrant, visceral, ramshackle sound of music made on the fly." Four Stars.
- Edna Gunderson, USA Today

"Latter period Dylan is turning out to be some of his deepest, richest work. Together Through Life is another brilliant, sure-handed outing by one of the few certified greats still living up to his legend."
- Joel Selvin, San Francisco Chronicle

"While Dylan's voice has opened up to become not only an intrinsic part of musical history, he has also adapted the role of living curator of a time and place almost erased by those who care more about the trappings of stardom than the roots of music. He is not trying to prove anything. But, as our world slides towards the brink of chaos, maybe Dylan does have the answer." 4.5 Near Classic
- David Harris, Spectrum Culture

"Dylan...has never sounded as ravaged, pissed off and lusty, all at once, as he does on Together Through Life." Four stars.
- David Fricke, ROLLING STONE

"...his warmest, most unforced, set of songs in recent memory." Four stars.
- Pete Paphides, The Times

"Together Through Life is a beautifully played collection of antique blues pop." Four stars.
- Neil McCormick, The Telegraph

"...he's going off the cliff along with everyone else, yet he's laughing all the way down." Five stars.
- Rob Sheffield, Blender

"And yet if the aptly titled "Together Through Life" turns out to be the last album that America's most important song poet records, its mix of inscrutability, flashed teeth, existential angst, deep sorrow, deadpan humor and dead-on takedowns would make it a perfectly satisfactory coda to a remarkable half-century of musicmaking. "
- Joe Heim, Washington Post

"Longtime fans and neophytes will all probably be grateful for the economical punch provided by Together Through Life
- Ann Powers, Los Angeles Times

"The album's a gas, a riot, a hoot." Five stars
- Allan Jones, Uncut more
"The album’s unifying preoccupation: love that’s not trustworthy, love with nasty side effects, and the experienced man’s defense against it. Singing these offhand bursts of nihilism... Mr. Dylan’s extraordinary voice surrounds you."
- Ben Ratliff, New York Times

"As the world reinvents itself in these re-orienting times, Together Through Life's neighborhood cappuccino club warmth instead offers shelter from the storm. It's a tonic whose pace is moderate, music is organic, lyrics are intelligent, and feel is refreshingly human."
- Mike Ragogna, Huffington Post

"Timely masterpiece...the perfect soundtrack for down-but-not-out America, a clear-eyed, often elegant-sounding, road map that notes the struggles, but keeps its focus on making it through - with your sense of humor intact, no less."
- Glenn Gamboa, Newsday

"Dylan has found his 21st century feet in musical touchstones almost 100 years old. And yet, through his growling, puckish delivery and crack band, it comes across fresh and vibrant. Here’s to Dylan finding more of his future in the sounds of the past." A-
- Jed Gottlieb, Boston Herald

"Another genius Dylan disc...Together Through Life continues Dylan's Indian summer string of masterpieces, and it's a cut above 2006's Modern Times."
- Brad Bamberger, Newark Star-Ledger

(pris sur le site officiel de Dylan)