Un peu de Lol dans ce monde de brute.

Pas de sujet humour dans ce forum il me semble.
Et où poster les vidéos de Desproges et autres en ce cas ?
Maintenant c'est là.

Et qui de mieux qui Flipère le vers de terre pour inaugurer le sujet.

Deux ou trois brèves:

Bourse: La mer monte, achetez de l'eau!

L'homme le plus malchanceux du monde a touché le fond mais dans le désordre.

Le premier ministre a déclaré dans son cabinet: "Je suis au bout du rouleau!"

Le gardien de Phare est passé en code.

En afrique du Sud, tout le monde est contre la ségrégation, à part Ted.

A vous les studios.

Je pense parfois qu'un jour, on apprendra la disparition du Vieux et je me souviens de ce qu'avait dit Pierre Desproges:

"Quand j'ai appris la mort de Brassens j'ai pleuré comme un gosse, alors que c'est curieux, quand j'ai appris celle de Tino Rossi, j'ai repris deux fois des moules..."

Noulé a écrit:

10/10

Qui est l'auteur de ce strip?

deafbillieblackbell a écrit:

Qui est l'auteur de ce strip?

Aucune idée !

Dommage, j'aurais voulu en voir plus.

Bon, on peut pas faire un topic du rire sans François Damiens:

Aleyster a écrit:

Il y en a des tas comme ça, les versions Oui Oui sont pas mal non plus.
L'an dernier j'avais piqué le concept en détournant des couvertures de Tintin:

deafbillieblackbell a écrit:

"Je suis un anarchiste absolu, prêt pour la société de Martine Aubry."

Fabrice Luchini au sommet.

Pour used_spoon.

Aleyster a écrit:

Pour used_spoon.

Pourquoi ?

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

Pour used_spoon.

Pourquoi ?

Parce que c'est drôle.

Aleyster a écrit:

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

Pour used_spoon.

Pourquoi ?

Parce que c'est drôle.

Justement.

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

Pour used_spoon.

Pourquoi ?

Parce que c'est drôle.

Justement.

Bah oui, justement.

Aleyster a écrit:

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

Pour used_spoon.

Pourquoi ?

Parce que c'est drôle.

Justement.

Bah oui, justement.

Oui, c'est ce que je dis.

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

Pour used_spoon.

Pourquoi ?

Parce que c'est drôle.

Justement.

Bah oui, justement.

Oui, c'est ce que je dis.

Ouais, y parait.

Aleyster a écrit:

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

used_spoon a écrit:

Aleyster a écrit:

Pour used_spoon.

Pourquoi ?

Parce que c'est drôle.

Justement.

Bah oui, justement.

Oui, c'est ce que je dis.

Ouais, y parait.

Il y a un coté salut nazi sympa sur l'image de la vidéo.

Blague bolchévique :

Karl Marx passe l'arme à gauche et arrive chez Satan. Les portes de la géhenne lui sont grandes ouvertes et Satan se frotte les mains d'avoir un client d'une telle notoriété.
Mais 15 jours après son arrivée, première pétition. 1 mois plus tard, première grève sectorielle. 3 mois plus tard, grève générale.
Satan n'en peut plus, il téléphone à St Pierre :
Satan : - Pierre, je te propose un marché : tu prends Karl et tu me le calmes un peu.
St Pierre : - OK, je tente !
Karl est envoyé au paradis, Satan attend. 6 mois passent. Puis 1 an. Satan finit par décrocher son téléphone :
Satan : - Eh Pierre, ça fait 1 an que je t'ai envoyé Karl au paradis, comment ça se passe là-haut ?
St Pierre : - Non mais sérieusement... L'enfer, le paradis, tu crois encore à toutes ces conneries, camarade ?

(Oué, bon d'accord, on a un humour spécial dans le milieu...)

Je vous salis, ma rue

Je vous salis ma rue
et je m'en excuse
un homme-sandwich m'a donné un prospectus
de l'Armée du Salut
je l'ai jeté
et il est là tout froissé
dans votre ruisseau
et l'eau tarde à couler
Pardonnez-moi cette offense
les éboueurs vont passer
avec leur valet mécanique
et tout sera effacé
Alors je dirai
je vous salue ma rue pleine d'ogresses
charmantes comme dans les contes chinois
et qui vous plantent au cœur
l'épée de cristal du plaisir
dans la plaie heureuse du désir

Je vous salue ma rue pleine de grâce
l'éboueur est avec nous.

Jacques Prévert, Fatras (1966)