En écoutant..., je me suis dit...

En écoutant Billy # 4, je me suis dit : pourquoi chante-t-il de cette façon quasiment 'panique'.

Comme si quelque chose débordait de toute part - le désert, ou que sais-je...

Le chant est presqu'absurde, mais d'une intensité telle que je ne sais, encore maintenant, à QUI il s'adresse.

Vous savez, vous ?

odradek a écrit:

En écoutant Billy # 4, je me suis dit : pourquoi chante-t-il de cette façon quasiment 'panique'.

Comme si quelque chose débordait de toute part - le désert, ou que sais-je...

Le chant est presqu'absurde, mais d'une intensité telle que je ne sais, encore maintenant, à QUI il s'adresse.

Vous savez, vous ?

Billy, c'est pour ainsi dire le désert - immense, grains de sable de toutes parts, mirages qui ondulent à l'horizon.
Quant au sentiment de panique, c'est parce que, comme dans tout désert, il y fait rudement soif.

J'attends la version live 2010.

En écoutant Together through life je me suis dit qu'on peut faire péter du gros rock avec un accordéon. (Et compte appliquer cette merveilleuse idée dans un futur proche.)

Mr. Oyster a écrit:

odradek a écrit:

En écoutant Billy # 4, je me suis dit : pourquoi chante-t-il de cette façon quasiment 'panique'.

Comme si quelque chose débordait de toute part - le désert, ou que sais-je...

Le chant est presqu'absurde, mais d'une intensité telle que je ne sais, encore maintenant, à QUI il s'adresse.

Vous savez, vous ?

Billy, c'est pour ainsi dire le désert - immense, grains de sable de toutes parts, mirages qui ondulent à l'horizon.
Quant au sentiment de panique, c'est parce que, comme dans tout désert, il y fait rudement soif.

J'attends la version live 2010.

Les déserts manquent de whisky c'est un fait. Ceci dit, je ne suis pas sûr que la déploration soit de cet ordre. Et quand on a soif, on économise son souffle, ce qui n'est pas le cas dans Billy #4.

C'est comme si la voix de Dylan luttait contre un vent contraire, chaud, sec et contraire.