Aufray > Dylan = OK mais Dylan > Aufray ?

Mr. Oyster a écrit:

cyrland63 a écrit:

a un moment on parle d slow train, j'ai un peu honte mais j'aime bien "saved", par contre shot of love est une daube pourmoi

Si tu pouvais relire tes messages avant de les poster, et éviter de poster le même message toutes les semaines, ce serait plaisant. A moins que je sois le seul ici à trouver ça lourdingue, hein.

Moi, j'ai déjà fait une explication de texte, alors, hein....

Crazy horse a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

cyrland63 a écrit:

a un moment on parle d slow train, j'ai un peu honte mais j'aime bien "saved", par contre shot of love est une daube pourmoi

Si tu pouvais relire tes messages avant de les poster, et éviter de poster le même message toutes les semaines, ce serait plaisant. A moins que je sois le seul ici à trouver ça lourdingue, hein.

Moi, j'ai déjà fait une explication de texte, alors, hein....

Et j'y mets 20/20, à ton commentaire.
Notre thème rassembleur, c'est Dylan, a priori pas un truc de bourrins,.. Maintenant, si ça ne dérange pas plus les récents inscrits ni les autres membres historiques...

Mr. Oyster a écrit:

Crazy horse a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

cyrland63 a écrit:

a un moment on parle d slow train, j'ai un peu honte mais j'aime bien "saved", par contre shot of love est une daube pourmoi

Si tu pouvais relire tes messages avant de les poster, et éviter de poster le même message toutes les semaines, ce serait plaisant. A moins que je sois le seul ici à trouver ça lourdingue, hein.

Moi, j'ai déjà fait une explication de texte, alors, hein....

Et j'y mets 20/20, à ton commentaire.
Notre thème rassembleur, c'est Dylan, a priori pas un truc de bourrins,.. Maintenant, si ça ne dérange pas plus les récents inscrits ni les autres membres historiques...

Dans mes bras camarade!

Crazy horse a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

Crazy horse a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

cyrland63 a écrit:

a un moment on parle d slow train, j'ai un peu honte mais j'aime bien "saved", par contre shot of love est une daube pourmoi

Si tu pouvais relire tes messages avant de les poster, et éviter de poster le même message toutes les semaines, ce serait plaisant. A moins que je sois le seul ici à trouver ça lourdingue, hein.

Moi, j'ai déjà fait une explication de texte, alors, hein....

Et j'y mets 20/20, à ton commentaire.
Notre thème rassembleur, c'est Dylan, a priori pas un truc de bourrins,.. Maintenant, si ça ne dérange pas plus les récents inscrits ni les autres membres historiques...

Dans mes bras camarade!

Mariez-vous !

Brigitte Fontaine : 'Je ne crois pas que les artistes puissent changer le monde, à part peut-être Bob Dylan' - Septembre 2009.

Pourquoi ne figure-t-elle pas non plus sur l'album, hein ?

odradek a écrit:

Mariez-vous !

Je suis trop jeune !

odradek a écrit:

Brigitte Fontaine : 'Je ne crois pas que les artistes puissent changer le monde, à part peut-être Bob Dylan' - Septembre 2009.

Pourquoi ne figure-t-elle pas non plus sur l'album, hein ?

Pour les mêmes raisons que Françoise.

odradek a écrit:

Brigitte Fontaine : 'Je ne crois pas que les artistes puissent changer le monde, à part peut-être Bob Dylan' - Septembre 2009.

Pourquoi ne figure-t-elle pas non plus sur l'album, hein ?

j'ai trouvé ma signature

Mr. Oyster a écrit:

cyrland63 a écrit:

a un moment on parle d slow train, j'ai un peu honte mais j'aime bien "saved", par contre shot of love est une daube pourmoi

Si tu pouvais relire tes messages avant de les poster, et éviter de poster le même message toutes les semaines, ce serait plaisant. A moins que je sois le seul ici à trouver ça lourdingue, hein.

Sauf à devenir gâteux, c'est mon premier message sur le sujet !! Je crois que la sénilité te guette Mr Oyster, je n'ai écouté "Shot of Love" qu'il y a quelques jours. Maintenant s'il faut être agrégé de français pour poster des messages ....

J'ajoute que Dylan doit être accessible à tous, même à un bourrin comme moi. C'est quoi cette caste de néo-pol pot qui veulent s'accaparer le droit de (bien) écrire sur Dylan.

Il serait également plaisant que vous ne vous érigiez pas en père la pudeur dès qu'il y a une faute de frappe, de français, d'orthographe ou encore qu'un commentaire ne vous sied pas.

Messieurs les censeurs, je vous salue bien (bas)

A self-ordained professor's tongue
Too serious to fool
Spouted out that liberty
Is just equality in school
"Equality," I spoke the word
As if a wedding vow.
Ah, but I was so much older then,
I'm younger than that now.(My Back pages)

cyrland63 a écrit:

J'ajoute que Dylan doit être accessible à tous, même à un bourrin comme moi. C'est quoi cette caste de néo-pol pot qui veulent s'accaparer le droit de (bien) écrire sur Dylan.

Il serait également plaisant que vous ne vous érigiez pas en père la pudeur dès qu'il y a une faute de frappe, de français, d'orthographe ou encore qu'un commentaire ne vous sied pas.

Messieurs les censeurs, je vous salue bien (bas)

A self-ordained professor's tongue
Too serious to fool
Spouted out that liberty
Is just equality in school
"Equality," I spoke the word
As if a wedding vow.
Ah, but I was so much older then,
I'm younger than that now.(My Back pages)

C'est étrange comme, d'une part, tu sembles comprendre ce qui t'arrange, et d'autre part, comme tu es capable de rédiger un truc un tant soit peu correct dès qu'il s'agit de te "défendre"..

Il y a quelques jours tu écrivais déjà, dans un langage proche du SMS que tu trouvais Shoot of love "nul à chier". Tu remets çà ici sans avancer le moindre "argument". Par ailleurs, personne ne demande à qui que ce soit de faire des phrases digne d'un prix littéraire ni même d'être agrégé. Quant aux fautes, j'ai déjà dit que nous en faisons tous plus ou moins, et que ce n'est pas si important que çà. Ce qu'on demande, c'est un minimum de rigueur quand on rédige, histoire d'être compréhensible pour tous. Le langage abrégé, SMS et dénué de toute forme de ponctuation est particulièrement pénible à lire, en tout cas pour moi. C'est pas plus compliqué que çà. Libre à toi de comprendre qu'on te demande d'écrire un roman digne de maître Capello, mais ce n'est pas ce qu'on te dit.

cyrland63 a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

cyrland63 a écrit:

a un moment on parle d slow train, j'ai un peu honte mais j'aime bien "saved", par contre shot of love est une daube pourmoi

Si tu pouvais relire tes messages avant de les poster, et éviter de poster le même message toutes les semaines, ce serait plaisant. A moins que je sois le seul ici à trouver ça lourdingue, hein.

Sauf à devenir gâteux, c'est mon premier message sur le sujet !! Je crois que la sénilité te guette Mr Oyster, je n'ai écouté "Shot of Love" qu'il y a quelques jours. Maintenant s'il faut être agrégé de français pour poster des messages ....

Un retournement syntaxique assez étonnant. Il est regrettable de te voir écrire correctement - et non dans un langage qui frise la dyslexie - seulement quand tu te crois, à tort, offensé. C'est d'autant plus déplorable que t'offenser n'était pas mon but, naturellement. Il me semble que sur un forum, donc sur un lieu d'échange fondé sur le langage, on doit user d'un minimum de règles pour se faire comprendre par tous, ou alors, je n'entends rien à la notion d'échange. Après, je doute que l'on puisse échanger à un niveau approfondi si tu traites les gens de séniles, ou, pis, de Pol Pot (accusation un peu excessive, non ? tu pensais à Goebbels, aussi ?) à la première occasion. Mantenant, je n'ai pas de temps à perdre avec toi, je ne vais pas m'amuser à relever tous les messages illisibles (et je dis bien, illisibles, et non pas incorrects d'un point de vue orthographie, nous faisons tous des fautes d'orthographe et ça ne me dérange pas plus que ça) que tu nous as infligé ces dernières semaines.

Cordialement,
Oyster / Pol Pot.

Je vais prendre vos deux commentaires comme des compliments.

C'est tout aussi étrange d'arguer de l'incompréhension de mes messages frisant, dixit Oyster / Pol Pot, la dyslexie (et alors, je suis probablement dyslesique mais cela m'interdit-il pour autant d'aimer Dylan) et puis quelques lignes après de critiquer leurs contenus.

Arrêtons donc les hostilités, Dylan mérite mieux que nos stériles polémiques et revenons donc à l'essentiel.

Cyrland / Le bourrin

cyrland63 a écrit:

Je vais prendre vos deux commentaires comme des compliments.

C'est tout aussi étrange d'arguer de l'incompréhension de mes messages frisant, dixit Oyster / Pol Pot, la dyslexie (et alors, je suis probablement dyslesique mais cela m'interdit-il pour autant d'aimer Dylan) et puis quelques lignes après de critiquer leurs contenus.
Arrêtons donc les hostilités, Dylan mérite mieux que nos stériles polémiques et revenons donc à l'essentiel.

Cyrland / Le bourrin

Génial les raccourcis. Nous serons donc de simples voisins. Les voisins sont fait pour cohabiter sans jamais se rencontrer.

On se calme - si je puis m'exprimer ainsi.

Et oui, revenons à l'essentiel.

L'essentiel c'est quoi ?

L'azur, l'azur, l'azur.

odradek a écrit:

On se calme - si je puis m'exprimer ainsi.

Et oui, revenons à l'essentiel.

L'essentiel c'est quoi ?

L'azur, l'azur, l'azur.

Je dirais même plus: L'azur ! L'azur ! L'azur ! L'azur !

Dans le même style...

Dylan Different ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que Ben Sidran n’a pas menti en choisissant le titre de son nouvel album : douze titres du grand Bob totalement revisités, en compagnie notamment du Français Rodolphe Burger.

Zélateurs orthodoxes de Bob Dylan, passez votre chemin ! Ben Sidran lui fait subir un des traitements les plus iconoclastes que l’on puisse imaginer, et qui rend parfois méconnaissables ses chansons. Mais n’est-ce pas la pratique du maître lui-même ? En effet, ces dernières années, il n’y a guère que ses musiciens de scène qui reconnaissent aux premières mesures Like A Rolling Stone ou Blowin’ In The Wind quand Dylan les joue.

Donc, Ben Sidran aborde en chanteur de jazz des classiques du format de Highway 61 Revisited, Tangled Up In Blue, Maggie’s Farm ou Knockin’ On Heaven’s Door. Et il ne cède rien ! Mélodies retravaillées, tempos révisés, tonalités changées, harmonies chamboulées… Il apparaît successivement en crooner postmoderne, en visite chez Kurt Weill, en soulman crépusculaire, en tenant d’un hard-bop fin de siècle mais toujours avec une fidélité paradoxale à Dylan. Car ici c’est le texte qui domine, dans une recherche perpétuelle des ambiances qui s’accordent le mieux à la poésie – parfois très politique – de l’auteur.

Rodolphe Burger a accueilli le très francophile chanteur et organiste américain dans son studio alsacien et intervient sur l’album parmi un bataillon de sommités (dont les chanteurs Georgie Fame et Jorge Drexler, Alberto Malo et Marcello Giuliani, les batteurs et bassistes d’Eric Truffaz) qui font sonner Dylan avec une générosité et une puissance de big band. Dépaysement garanti mais grand classicisme jazz-soul.

Aleyster a écrit:

Dans le même style...

Dylan Different ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que Ben Sidran n’a pas menti en choisissant le titre de son nouvel album : douze titres du grand Bob totalement revisités, en compagnie notamment du Français Rodolphe Burger.

Zélateurs orthodoxes de Bob Dylan, passez votre chemin ! Ben Sidran lui fait subir un des traitements les plus iconoclastes que l’on puisse imaginer, et qui rend parfois méconnaissables ses chansons. Mais n’est-ce pas la pratique du maître lui-même ? En effet, ces dernières années, il n’y a guère que ses musiciens de scène qui reconnaissent aux premières mesures Like A Rolling Stone ou Blowin’ In The Wind quand Dylan les joue.

Donc, Ben Sidran aborde en chanteur de jazz des classiques du format de Highway 61 Revisited, Tangled Up In Blue, Maggie’s Farm ou Knockin’ On Heaven’s Door. Et il ne cède rien ! Mélodies retravaillées, tempos révisés, tonalités changées, harmonies chamboulées… Il apparaît successivement en crooner postmoderne, en visite chez Kurt Weill, en soulman crépusculaire, en tenant d’un hard-bop fin de siècle mais toujours avec une fidélité paradoxale à Dylan. Car ici c’est le texte qui domine, dans une recherche perpétuelle des ambiances qui s’accordent le mieux à la poésie – parfois très politique – de l’auteur.

Rodolphe Burger a accueilli le très francophile chanteur et organiste américain dans son studio alsacien et intervient sur l’album parmi un bataillon de sommités (dont les chanteurs Georgie Fame et Jorge Drexler, Alberto Malo et Marcello Giuliani, les batteurs et bassistes d’Eric Truffaz) qui font sonner Dylan avec une générosité et une puissance de big band. Dépaysement garanti mais grand classicisme jazz-soul.

C'est quoi ? Un album ???

odradek a écrit:

Aleyster a écrit:

Dans le même style...

Dylan Different ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que Ben Sidran n’a pas menti en choisissant le titre de son nouvel album : douze titres du grand Bob totalement revisités, en compagnie notamment du Français Rodolphe Burger.

Zélateurs orthodoxes de Bob Dylan, passez votre chemin ! Ben Sidran lui fait subir un des traitements les plus iconoclastes que l’on puisse imaginer, et qui rend parfois méconnaissables ses chansons. Mais n’est-ce pas la pratique du maître lui-même ? En effet, ces dernières années, il n’y a guère que ses musiciens de scène qui reconnaissent aux premières mesures Like A Rolling Stone ou Blowin’ In The Wind quand Dylan les joue.

Donc, Ben Sidran aborde en chanteur de jazz des classiques du format de Highway 61 Revisited, Tangled Up In Blue, Maggie’s Farm ou Knockin’ On Heaven’s Door. Et il ne cède rien ! Mélodies retravaillées, tempos révisés, tonalités changées, harmonies chamboulées… Il apparaît successivement en crooner postmoderne, en visite chez Kurt Weill, en soulman crépusculaire, en tenant d’un hard-bop fin de siècle mais toujours avec une fidélité paradoxale à Dylan. Car ici c’est le texte qui domine, dans une recherche perpétuelle des ambiances qui s’accordent le mieux à la poésie – parfois très politique – de l’auteur.

Rodolphe Burger a accueilli le très francophile chanteur et organiste américain dans son studio alsacien et intervient sur l’album parmi un bataillon de sommités (dont les chanteurs Georgie Fame et Jorge Drexler, Alberto Malo et Marcello Giuliani, les batteurs et bassistes d’Eric Truffaz) qui font sonner Dylan avec une générosité et une puissance de big band. Dépaysement garanti mais grand classicisme jazz-soul.

C'est quoi ? Un album ???

Faut croire oui.

Aleyster a écrit:

odradek a écrit:

Aleyster a écrit:

Dans le même style...

Dylan Different ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que Ben Sidran n’a pas menti en choisissant le titre de son nouvel album : douze titres du grand Bob totalement revisités, en compagnie notamment du Français Rodolphe Burger.

Zélateurs orthodoxes de Bob Dylan, passez votre chemin ! Ben Sidran lui fait subir un des traitements les plus iconoclastes que l’on puisse imaginer, et qui rend parfois méconnaissables ses chansons. Mais n’est-ce pas la pratique du maître lui-même ? En effet, ces dernières années, il n’y a guère que ses musiciens de scène qui reconnaissent aux premières mesures Like A Rolling Stone ou Blowin’ In The Wind quand Dylan les joue.

Donc, Ben Sidran aborde en chanteur de jazz des classiques du format de Highway 61 Revisited, Tangled Up In Blue, Maggie’s Farm ou Knockin’ On Heaven’s Door. Et il ne cède rien ! Mélodies retravaillées, tempos révisés, tonalités changées, harmonies chamboulées… Il apparaît successivement en crooner postmoderne, en visite chez Kurt Weill, en soulman crépusculaire, en tenant d’un hard-bop fin de siècle mais toujours avec une fidélité paradoxale à Dylan. Car ici c’est le texte qui domine, dans une recherche perpétuelle des ambiances qui s’accordent le mieux à la poésie – parfois très politique – de l’auteur.

Rodolphe Burger a accueilli le très francophile chanteur et organiste américain dans son studio alsacien et intervient sur l’album parmi un bataillon de sommités (dont les chanteurs Georgie Fame et Jorge Drexler, Alberto Malo et Marcello Giuliani, les batteurs et bassistes d’Eric Truffaz) qui font sonner Dylan avec une générosité et une puissance de big band. Dépaysement garanti mais grand classicisme jazz-soul.

C'est quoi ? Un album ???

Faut croire oui.

ça peut être intéressant ça.

Planet waves a écrit:

Aleyster a écrit:

odradek a écrit:

Aleyster a écrit:

Dans le même style...

Dylan Different ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que Ben Sidran n’a pas menti en choisissant le titre de son nouvel album : douze titres du grand Bob totalement revisités, en compagnie notamment du Français Rodolphe Burger.

Zélateurs orthodoxes de Bob Dylan, passez votre chemin ! Ben Sidran lui fait subir un des traitements les plus iconoclastes que l’on puisse imaginer, et qui rend parfois méconnaissables ses chansons. Mais n’est-ce pas la pratique du maître lui-même ? En effet, ces dernières années, il n’y a guère que ses musiciens de scène qui reconnaissent aux premières mesures Like A Rolling Stone ou Blowin’ In The Wind quand Dylan les joue.

Donc, Ben Sidran aborde en chanteur de jazz des classiques du format de Highway 61 Revisited, Tangled Up In Blue, Maggie’s Farm ou Knockin’ On Heaven’s Door. Et il ne cède rien ! Mélodies retravaillées, tempos révisés, tonalités changées, harmonies chamboulées… Il apparaît successivement en crooner postmoderne, en visite chez Kurt Weill, en soulman crépusculaire, en tenant d’un hard-bop fin de siècle mais toujours avec une fidélité paradoxale à Dylan. Car ici c’est le texte qui domine, dans une recherche perpétuelle des ambiances qui s’accordent le mieux à la poésie – parfois très politique – de l’auteur.

Rodolphe Burger a accueilli le très francophile chanteur et organiste américain dans son studio alsacien et intervient sur l’album parmi un bataillon de sommités (dont les chanteurs Georgie Fame et Jorge Drexler, Alberto Malo et Marcello Giuliani, les batteurs et bassistes d’Eric Truffaz) qui font sonner Dylan avec une générosité et une puissance de big band. Dépaysement garanti mais grand classicisme jazz-soul.

C'est quoi ? Un album ???

Faut croire oui.

ça peut être intéressant ça.

Plus intéressant que le projet Aufray (il sort quand au fait ?) effectivement !

odradek a écrit:

Planet waves a écrit:

Aleyster a écrit:

odradek a écrit:

Aleyster a écrit:

Dans le même style...

Dylan Different ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que Ben Sidran n’a pas menti en choisissant le titre de son nouvel album : douze titres du grand Bob totalement revisités, en compagnie notamment du Français Rodolphe Burger.

Zélateurs orthodoxes de Bob Dylan, passez votre chemin ! Ben Sidran lui fait subir un des traitements les plus iconoclastes que l’on puisse imaginer, et qui rend parfois méconnaissables ses chansons. Mais n’est-ce pas la pratique du maître lui-même ? En effet, ces dernières années, il n’y a guère que ses musiciens de scène qui reconnaissent aux premières mesures Like A Rolling Stone ou Blowin’ In The Wind quand Dylan les joue.

Donc, Ben Sidran aborde en chanteur de jazz des classiques du format de Highway 61 Revisited, Tangled Up In Blue, Maggie’s Farm ou Knockin’ On Heaven’s Door. Et il ne cède rien ! Mélodies retravaillées, tempos révisés, tonalités changées, harmonies chamboulées… Il apparaît successivement en crooner postmoderne, en visite chez Kurt Weill, en soulman crépusculaire, en tenant d’un hard-bop fin de siècle mais toujours avec une fidélité paradoxale à Dylan. Car ici c’est le texte qui domine, dans une recherche perpétuelle des ambiances qui s’accordent le mieux à la poésie – parfois très politique – de l’auteur.

Rodolphe Burger a accueilli le très francophile chanteur et organiste américain dans son studio alsacien et intervient sur l’album parmi un bataillon de sommités (dont les chanteurs Georgie Fame et Jorge Drexler, Alberto Malo et Marcello Giuliani, les batteurs et bassistes d’Eric Truffaz) qui font sonner Dylan avec une générosité et une puissance de big band. Dépaysement garanti mais grand classicisme jazz-soul.

C'est quoi ? Un album ???

Faut croire oui.

ça peut être intéressant ça.

Plus intéressant que le projet Aufray (il sort quand au fait ?) effectivement !

J'aurai du mal à écouter le Auffray .. je pense peut-être le faire par conscience professionnelle ..

http://musique.sfr.fr/mag/article/chronique/ben-sidran-dylan-different

odradek a écrit:

http://musique.sfr.fr/mag/article/chronique/ben-sidran-dylan-different

Toujours sous le feu des projecteurs ce Dylan !

Planet waves a écrit:

odradek a écrit:

Planet waves a écrit:

Aleyster a écrit:

odradek a écrit:

Aleyster a écrit:

Dans le même style...

Dylan Different ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que Ben Sidran n’a pas menti en choisissant le titre de son nouvel album : douze titres du grand Bob totalement revisités, en compagnie notamment du Français Rodolphe Burger.

Zélateurs orthodoxes de Bob Dylan, passez votre chemin ! Ben Sidran lui fait subir un des traitements les plus iconoclastes que l’on puisse imaginer, et qui rend parfois méconnaissables ses chansons. Mais n’est-ce pas la pratique du maître lui-même ? En effet, ces dernières années, il n’y a guère que ses musiciens de scène qui reconnaissent aux premières mesures Like A Rolling Stone ou Blowin’ In The Wind quand Dylan les joue.

Donc, Ben Sidran aborde en chanteur de jazz des classiques du format de Highway 61 Revisited, Tangled Up In Blue, Maggie’s Farm ou Knockin’ On Heaven’s Door. Et il ne cède rien ! Mélodies retravaillées, tempos révisés, tonalités changées, harmonies chamboulées… Il apparaît successivement en crooner postmoderne, en visite chez Kurt Weill, en soulman crépusculaire, en tenant d’un hard-bop fin de siècle mais toujours avec une fidélité paradoxale à Dylan. Car ici c’est le texte qui domine, dans une recherche perpétuelle des ambiances qui s’accordent le mieux à la poésie – parfois très politique – de l’auteur.

Rodolphe Burger a accueilli le très francophile chanteur et organiste américain dans son studio alsacien et intervient sur l’album parmi un bataillon de sommités (dont les chanteurs Georgie Fame et Jorge Drexler, Alberto Malo et Marcello Giuliani, les batteurs et bassistes d’Eric Truffaz) qui font sonner Dylan avec une générosité et une puissance de big band. Dépaysement garanti mais grand classicisme jazz-soul.

C'est quoi ? Un album ???

Faut croire oui.

ça peut être intéressant ça.

Plus intéressant que le projet Aufray (il sort quand au fait ?) effectivement !

J'aurai du mal à écouter le Auffray .. je pense peut-être le faire par conscience professionnelle ..

C'est important la conscience professionnelle !

odradek a écrit:

Planet waves a écrit:

odradek a écrit:

Planet waves a écrit:

Aleyster a écrit:

odradek a écrit:

Aleyster a écrit:

Dans le même style...

Dylan Different ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que Ben Sidran n’a pas menti en choisissant le titre de son nouvel album : douze titres du grand Bob totalement revisités, en compagnie notamment du Français Rodolphe Burger.

Zélateurs orthodoxes de Bob Dylan, passez votre chemin ! Ben Sidran lui fait subir un des traitements les plus iconoclastes que l’on puisse imaginer, et qui rend parfois méconnaissables ses chansons. Mais n’est-ce pas la pratique du maître lui-même ? En effet, ces dernières années, il n’y a guère que ses musiciens de scène qui reconnaissent aux premières mesures Like A Rolling Stone ou Blowin’ In The Wind quand Dylan les joue.

Donc, Ben Sidran aborde en chanteur de jazz des classiques du format de Highway 61 Revisited, Tangled Up In Blue, Maggie’s Farm ou Knockin’ On Heaven’s Door. Et il ne cède rien ! Mélodies retravaillées, tempos révisés, tonalités changées, harmonies chamboulées… Il apparaît successivement en crooner postmoderne, en visite chez Kurt Weill, en soulman crépusculaire, en tenant d’un hard-bop fin de siècle mais toujours avec une fidélité paradoxale à Dylan. Car ici c’est le texte qui domine, dans une recherche perpétuelle des ambiances qui s’accordent le mieux à la poésie – parfois très politique – de l’auteur.

Rodolphe Burger a accueilli le très francophile chanteur et organiste américain dans son studio alsacien et intervient sur l’album parmi un bataillon de sommités (dont les chanteurs Georgie Fame et Jorge Drexler, Alberto Malo et Marcello Giuliani, les batteurs et bassistes d’Eric Truffaz) qui font sonner Dylan avec une générosité et une puissance de big band. Dépaysement garanti mais grand classicisme jazz-soul.

C'est quoi ? Un album ???

Faut croire oui.

ça peut être intéressant ça.

Plus intéressant que le projet Aufray (il sort quand au fait ?) effectivement !

J'aurai du mal à écouter le Auffray .. je pense peut-être le faire par conscience professionnelle ..

C'est important la conscience professionnelle !

Bof... une fois qu'on à écouter Aufray une fois on a compris, le pauvre monsieur veux faire du neuf mais nous ressorts l'exacte album.
Personnellement j'ai écouter celui ci, et je n'irais pas plus loin.



Conscience professionnelle ou non, il faut savoir écouter ses oreilles.

ben sidran

https://www.youtube.com/watch?v=KFTbqz_6pGI&hl=fr

blounote a écrit:

ben sidran

https://www.youtube.com/watch?v=KFTbqz_6pGI&hl=fr

Pas mal, le monsieur à une voix sympathique. A écouter donc.
En tout cas je salive sur la possibilité d'un grand solo de piano au milieu de Ballad si la chanson est sur l'album.
Je trouve que ça manque énormément à la version original, et ça s'intégrerait très bien.
Sidran étant chanteur de jazz selon l'article... c'est possible.

blounote a écrit:

ben sidran

[url=https://www.youtube.com/watch?v=KFTbqz_6pGI&hl=fr

https://www.youtube.com/watch?v=KFTbqz_6pGI&hl=fr[/quote[/url]]


Ca promet !