No direction home (DVD)

Director: Martin Scorsese

Encoding: Region 1 (U.S. and Canada only. This DVD will probably NOT be viewable in other countries. Read more about DVD formats.)

Format: Color, Box set

Rated: NR
Studio: Paramount Home Video
DVD Release Date: September 20, 2005
DVD Features:
Available subtitles: English
Available Audio Tracks: English (Dolby Digital 5.1), English (Dolby Digital 2.0 Surround)

Je signale que dans le Télérama de cette semaine, il y a un article sur la sortie du DVD. TRA 2912

et il va passer sur Canal + le 7 et 8 novembre

il sort vendredi en dvd zone 2 j'ai déja commandé

phasme a écrit:

Director: Martin Scorsese

Encoding: Region 1 (U.S. and Canada only. This DVD will probably NOT be viewable in other countries. Read more about DVD formats.)

Je l'ai commandé à fnac.com où il est indiqué en région 2 (sortie le 4 novembre)

ouais il est sous le nom bob dylan anthology project en france mais c'est bien no direction home sorti en france le 4 novembre

je confirme

P***** il est excellent ce film

Je suis en train de le regarder, je fais que pleurer

Mes impressions dans quelques temps, quand je serai remise...

Superbe, absolument !

Ce soir : 2ième partie

phasme a écrit:

Superbe, absolument !

Rien d'autre à ajouter!

T'as pleuré toi aussi?

J'adore, il ont resorti Suze de derrière les fagots...

A lala, combien de femmes auraient aimé être à sa place?

zigmounette a écrit:

phasme a écrit:

Superbe, absolument !

Rien d'autre à ajouter!

T'as pleuré toi aussi?

J'adore, il ont resorti Suze de derrière les fagots...

A lala, combien de femmes auraient aimé être à sa place?

1/ Oui, mais plus tard
2/ Non, mes yeux étaient trop exorbités
3/ Suze est restée belle, je trouve - et charmante
4/ Je ne peux pas dire, là

1/ C'est moi qui disais à partir de ce que tu avais écrit que je n'avais rien d'autre à ajouter (d'où le point d'exclamation et pas d'interrogation...)

2/ Rhôôô

3/ Mouai... Remarque, je l'ai trouvée plus charmante sur la vidéo que sur The Freewheelin', où elle fait un peu cageot (c'est vrai je suis un peu jalouse , d'où

4/ Moi je peux affirmativement en tout cas Bob nakeeeeeeed

J'ai les sous dans les mains, la fievre dans la peau: je vais me procurer ce dvd fissa. C'est à dire maintenant.

Charterhouse11 a écrit:

J'ai les sous dans les mains, la fievre dans la peau: je vais me procurer ce dvd fissa. C'est à dire maintenant.

Good ! Tu m'en diras des nouvelles, C11 !

(C'est marrant : dedans, il y a des outtakes de 'Eat the document')

Meanwhile, far away in another part of town...

j'attends toujours qu'il sorte chez moi

Broots a écrit:

Meanwhile, far away in another part of town...

j'attends toujours qu'il sorte chez moi

Tu peux pas le commander? Ça doit être trop horrible d'attendre...

No direction home ...

J'ai du voir les 5 premières minutes sur Canal , maximum 7 minutes , puis ils ont brouillés ... quelle frustration !


Malheureusement , mon budget ne me permet pas actuellement de l'acheter ( je viens de perdre les 20 derniers euros aux courses pfff il avait une bonne poire le clebard ) .

N'y aurait-t-il pas moyen de le trouver quelque part sur le net ?

Quelle idée de jouer 20 euros aux courses alors que c'est justement le prix de NDH, soit 3 heures et demie de bonheur absolu!
Bon, il y avait un certain nombre de trucs d'époque qui trainaient déjà à droite à gauche, mais retrouver le début des 60's en qualité DVD...
Et les séquences de commentaires de Dylan 2005, tel qu'en lui-même.
Je l'ai trouvé magnifique. Si tout le monde pouvait vieillir ainsi...
Si vous observez bien, vous retrouverez des mimiques ou des expressions identiques entre le jeune Dylan et le Zim d'aujourd'hui. Mais est-ce bien étonnant?

Même pas , je l'ai vu à 15 euros !

Aaaah putain je pensais qu'il couterait minimum 40 euros moi , puis je devais m'acheter d'autres trucs bref t'as raison les paris c'est casse gueule mais ce chien était qd même invaincu depuis qques courses , et bon les chevaux je suis tjs à la ramasse et le foot c'était des matchs amicaux et qques éliminatoires , trop risqué ...


Sinon j'ai Finalement pu l'acheter , et comme tu dis , 3 heures et demie de pur bonheur !!!!!!

Même si ......

Deux point négatifs... Tout d'abord , l'absence totale de toute référence à des prises de drogues ... Surement du à la demande expresse du "Messie" .

Puis l'autre plus ennuyante , pourquoi ne pas avoir continué au moins jusqu'à Blonde On Blonde !!!!! Ils passent directement à l'accident de moto et zappent la sortie de Blonde On blonde , raaaaaaaah !!!!!!



Mais au final , joie bonheur et jolis bonus .

Pour la drogue, tout le monde prenait plein de trucs à cette époque...
(Everybody must get stoned!) Par moments, on voit bien qu'il navigue au radar...
Fallait-il en parler? Je ne suis pas sûr que cela ait apporté plus au bonheur de le (re)voir tel qu'en lui-même à la grande époque.
Je suis d'accord avec toi pour Blonde On Blonde, mais il aurait bien fallu une heure de plus pour traiter la question....

Richard 19 a écrit:

Pour la drogue, tout le monde prenait plein de trucs à cette époque...
(Everybody must get stoned!) Par moments, on voit bien qu'il navigue au radar...
Fallait-il en parler? Je ne suis pas sûr que cela ait apporté plus au bonheur de le (re)voir tel qu'en lui-même à la grande époque.
Je suis d'accord avec toi pour Blonde On Blonde, mais il aurait bien fallu une heure de plus pour traiter la question....

D'un autre côté, existe-t-il des images autour de la sortie de BoB ? Rien n'est moins sûr. Sans parler de l'enregistement.

Je m'étonne du peu d'écho dans la presse française suite à la sortie de NDH.

Me trompe-je ?

Bah, il y a eu un grand article dans Télérama, et si tu tapes Bob Dylan dans la rubrique Actualités sur Google, tu trouveras quelques articles, notamment du Monde. Les journeaux en ligne en ont pas mal parlé. Mais bon, il est vrai que Dylan ne devant plus guère rapporter de nouveaux lecteurs...

"Paris, le 13 octobre 2005 :

Assisté hier à la projection de presse, en avant-première de la sortie du film DVD de Martin Scorsese : No Direction Home – Bob Dylan.

L’humour zen de Bob, son art du mentir vrai devant la caméra, en plan très serré. Qui joue, qui invente, une fois encore, et au bout de combien de millier d’autres fois, des réponses à des questions impossibles. Histoire que le monde dorme mieux. Qu’il ait un début d’explication. Qu’il se sente en paix avec lui-même. Avec ses tricheries. Ses amères victoires. Tout ça me fait penser à " Pat Garrett et Billy le Kid ", le film de Sam Peckinpah de 1973 que je viens tout juste de revoir : " Qui es-tu ? ", demande le Kid à l’étrange personnage qu’y incarne Bob Dylan. " C’est une bonne question ", répond celui-ci, du tac au tac, le regard en biais. " Quel est ton nom ? ". " Alias ". " Alias qui ? ". " Juste Alias ". Ne cherchez pas. On n’a jamais fait mieux depuis.

" Nous voulons le vrai Bob Dylan ", hurlent ses fans anglais lorsque celui-ci se produit pour la première fois avec l’excellent blues band de Mike Bloomfield. Le vrai Dylan… Avec son physique de brave gosse pas assez sauvage ; ni Brando, ni James Dean. Bob, c’est juste un musicien, ni pire ni meilleur, un type comme il y en a tant au Village ; mais un type qui un beau jour a eu l’idée bizarre d’inventer le besoin planétaire de Dylan. Comme ça : histoire de voir ce qui pourrait bien en sortir.

Pas d’identité. Ou alors une identité nomade. Opportuniste : partout chez elle. Nulle part chez elle. Mais quel homme coïncide-t-il vraiment avec lui-même ? Celui qui s’entraîne toujours plus loin sur la route, peut-être. Celui qui jamais ne stationne mais brûle le dur et s’envoie sans cesse au diable et continue, continue, continue.

Bob seul à retourner les questions vers le vide d’où elles surgissent : no direction, pas de réponse. Ou alors, si tu écoutes attentivement, le vent peut-être. Mais il y a beau temps qu’aucun journaliste parisien n’écoute plus le vent. Des faits. Des poncifs rutilants. Des petites rafales de consensus. La petite pantomime de la rationalité satisfaite.

Ca s’ennuie quand même vite, un journaliste parisien. Pensez : plus de trois heures de projection ! Derrière moi une vieille taupe à grand tirage soupire à fendre l’âme quand Joan, dans sa cuisine, prend la guitare pour nous pousser " Love is just a four letters word ", cette chanson dont elle fit un succès et que Bob ne se souvenait même plus d’avoir composé.

L’inattention. La dispersion : voilà le mal qui nous égare. Bob, lui, est concentré sur son souffle, comme le chamane, précise Allen Ginsberg. Il sait. Il envoie. On ne peut vivre réellement qu’à ce niveau là. Quand ça déborde. Dans cette effusion là.

No direction. No direction. Juste ce déluge. Et la peur d’être sauvé.

Recherche désespérément le fan indigne qui m'a dérobé No Direction Home pendant que j'avais le dos tourné... S'il passe sur ce forum et qu'il se reconnaît, qu'il ait un éclair de bonté ou qu'il soit MAUDIT

J'te jure c'est pas moi!!
Tous les mauvais fans seront damnés et brûleront éternellement en enfer, je te le certifie!

J'y compte !
...et je crois bien que c'est une demoiselle qui a fait le coup, love and theft...

Les risques de l'amour...

Eh bien tant pis, entre vol et envol peut-on vraiment choisir...?

Les passionés non...
Beaucoup choisissent leur confort

Mon dieu!
Ca me fait penser (il faut bien ça) que l'on ne m'a jamais rendu non plus NDH ni même celui The story of Syd barrett