En écoute présentement

Soledad a écrit:

Sardequin a écrit:

La suite de la récolte de ce dimanche !



Vraiment content d’être enfin tombé dessus aujourd’hui !

Du grand Gainsbourg.

Du grand Jean Claude Vanier oui...

Gainsbourg n'y est pas pour grand chose.

C’est la collaboration des deux qui fait la force de ce disque !

De toute manière, un grand disque !

Sardequin a écrit:

C’est la collaboration des deux qui fait la force de ce disque !

De toute manière, un grand disque !

Certes, enfin, c'est la collaboration qui a fait toute la carrière de Gainsbourg. Et je souhaitais dénoncer ce fait trop souvent ignoré.

On peut aussi dire que Gainsbourg s’est beaucoup inspiré d’autres, musiciens, genres musicaux ! La musique classique (Brahms par exemple) a beaucoup "imprégné" certaines de ses chansons.

Je ne suis pas un grand fan de Gainsbourg pour tout dire. En fait Melody Nelson est quand même ce qui m’intéresse le plus chez lui, sans doute le seul disque que je considère indispensable à avoir de lui ! Le reste, ben, je ne suis pas très client ! D’ailleurs, quand j’en vois en vide-greniers, je ne me précipite pas vraiment. J’ai juste pris "Aux armes eceatera", et bon, je n’ai pas été convaincu par ce disque.

used_spoon a écrit:

Sardequin a écrit:

C’est la collaboration des deux qui fait la force de ce disque !

De toute manière, un grand disque !

Certes, enfin, c'est la collaboration qui a fait toute la carrière de Gainsbourg. Et je souhaitais dénoncer ce fait trop souvent ignoré.

Pour avoir eu une période où je me suis beaucoup penchée sur lui, je te rejoints en partie, mais pas complètement.
D'abord car Gainsbourg est un grand auteur. Il avait un réel talent pour manier les mots, et j'irais jusqu'à dire très poétique.
Ses premiers albums, sont magnifiques. Et on en entend que trop peu parler. Pour ne citer que des titres comme "les goémons", "la chanson de Prévert", "les amours perdus". Et à cette époque, les mélodies, c'est bien lui, et quasiment personne d'autre.

Dès "Initials B.B", etc, son oeuvre est parsemée de références, d'influences omniprésentes, c'est certain, mais je crois qu'il faut le prendre vraiment aussi comme des hommages, et non que du pompage. Notamment car Gainsbourg a toujours déclaré lui-même qu'il considérait son art comme un "art mineur", au contraire de la musique classique, la littérature, la peinture, "arts majeurs".
Histoire de Melody Nelson doit quasi-l'intégralité de la musique à Vanier, tu as raison, mais restent quand même les textes.
Et il ne faut pas oublier l'album "L'homme à la tête de chou", qui je crois démontre assez bien les talents de Gainsbourg d'un point de vue musical, également.

Il y a "qui est in, qui est out", mais il y a "Sorry Angel".
Il y a "Love on the Beat", mais il y a "Dépression au-dessus du jardin".
De Gainsbourg, on a que trop l'image de Gainsbarre, et c'est dommage.
Je crois qu'il faut cerner la faiblesse du personnage, et combien il était sensible, pour comprendre mieux son oeuvre, qui n'a sûrement jamais été à la hauteur de ce qu'il aurait voulu qu'elle soit.

Soledad a écrit:

used_spoon a écrit:

Sardequin a écrit:

C’est la collaboration des deux qui fait la force de ce disque !

De toute manière, un grand disque !

Certes, enfin, c'est la collaboration qui a fait toute la carrière de Gainsbourg. Et je souhaitais dénoncer ce fait trop souvent ignoré.

Pour avoir eu une période où je me suis beaucoup penchée sur lui, je te rejoints en partie, mais pas complètement.
D'abord car Gainsbourg est un grand auteur. Il avait un réel talent pour manier les mots, et j'irais jusqu'à dire très poétique.
Ses premiers albums, sont magnifiques. Et on en entend que trop peu parler. Pour ne citer que des titres comme "les goémons", "la chanson de Prévert", "les amours perdus". Et à cette époque, les mélodies, c'est bien lui, et quasiment personne d'autre.

Dès "Initials B.B", etc, son oeuvre est parsemée de références, d'influences omniprésentes, c'est certain, mais je crois qu'il faut le prendre vraiment aussi comme des hommages, et non que du pompage. Notamment car Gainsbourg a toujours déclaré lui-même qu'il considérait son art comme un "art mineur", au contraire de la musique classique, la littérature, la peinture, "arts majeurs".
Histoire de Melody Nelson doit quasi-l'intégralité de la musique à Vanier, tu as raison, mais restent quand même les textes.
Et il ne faut pas oublier l'album "L'homme à la tête de chou", qui je crois démontre assez bien les talents de Gainsbourg d'un point de vue musical, également.

Il y a "qui est in, qui est out", mais il y a "Sorry Angel".
Il y a "Love on the Beat", mais il y a "Dépression au-dessus du jardin".
De Gainsbourg, on a que trop l'image de Gainsbarre, et c'est dommage.
Je crois qu'il faut cerner la faiblesse du personnage, et combien il était sensible, pour comprendre mieux son oeuvre, qui n'a sûrement jamais été à la hauteur de ce qu'il aurait voulu qu'elle soit.

Exact, je suis d'accord sur ses débuts qui contiennent de très bonne chansons. Mais pour le reste, je n'ai vraiment pas d'attirance pour ce qu'il a fait. Il n'y a plus de textes à partir de 70. A part peut être la collaboration avec Bashung,..

C'est un peu tranché comme avis et ça n'engage que moi, mais je n'aime pas Gainsbourg, comme je n'aime pas Brel...

used_spoon a écrit:

Soledad a écrit:

used_spoon a écrit:

Sardequin a écrit:

C’est la collaboration des deux qui fait la force de ce disque !

De toute manière, un grand disque !

Certes, enfin, c'est la collaboration qui a fait toute la carrière de Gainsbourg. Et je souhaitais dénoncer ce fait trop souvent ignoré.

Pour avoir eu une période où je me suis beaucoup penchée sur lui, je te rejoints en partie, mais pas complètement.
D'abord car Gainsbourg est un grand auteur. Il avait un réel talent pour manier les mots, et j'irais jusqu'à dire très poétique.
Ses premiers albums, sont magnifiques. Et on en entend que trop peu parler. Pour ne citer que des titres comme "les goémons", "la chanson de Prévert", "les amours perdus". Et à cette époque, les mélodies, c'est bien lui, et quasiment personne d'autre.

Dès "Initials B.B", etc, son oeuvre est parsemée de références, d'influences omniprésentes, c'est certain, mais je crois qu'il faut le prendre vraiment aussi comme des hommages, et non que du pompage. Notamment car Gainsbourg a toujours déclaré lui-même qu'il considérait son art comme un "art mineur", au contraire de la musique classique, la littérature, la peinture, "arts majeurs".
Histoire de Melody Nelson doit quasi-l'intégralité de la musique à Vanier, tu as raison, mais restent quand même les textes.
Et il ne faut pas oublier l'album "L'homme à la tête de chou", qui je crois démontre assez bien les talents de Gainsbourg d'un point de vue musical, également.

Il y a "qui est in, qui est out", mais il y a "Sorry Angel".
Il y a "Love on the Beat", mais il y a "Dépression au-dessus du jardin".
De Gainsbourg, on a que trop l'image de Gainsbarre, et c'est dommage.
Je crois qu'il faut cerner la faiblesse du personnage, et combien il était sensible, pour comprendre mieux son oeuvre, qui n'a sûrement jamais été à la hauteur de ce qu'il aurait voulu qu'elle soit.

Exact, je suis d'accord sur ses débuts qui contiennent de très bonne chansons. Mais pour le reste, je n'ai vraiment pas d'attirance pour ce qu'il a fait. Il n'y a plus de textes à partir de 70. A part peut être la collaboration avec Bashung,..

C'est un peu tranché comme avis et ça n'engage que moi, mais je n'aime pas Gainsbourg, comme je n'aime pas Brel...

Un artiste nous touche, ou non, tout cela dépend autant de l'auteur-compositeur que de l'auditeur..

En fait, je les ai énormément écouté chacun à une période, et leur musique m'a beaucoup apporté. Je leur voue du coup forcément une admiration particulière, même étant passée à d'autres choses depuis.

used_spoon a écrit:

Sardequin a écrit:

C’est la collaboration des deux qui fait la force de ce disque !

De toute manière, un grand disque !

Certes, enfin, c'est la collaboration qui a fait toute la carrière de Gainsbourg. Et je souhaitais dénoncer ce fait trop souvent ignoré.

Dylan n'aurait pas été le même sans The Band, sans Lanois pour ses CO, Les Beatles, les uns sans les autres ramaient souvent, Bashung, sans Fauque, ou des musiciens excellent, à l'époque de Play Blessures ou de Fantaisie Militaire, Dutronc sans son parolier fétiche.... On pourrait passer la journée à disserter sur les carrières qui n'ont été viables que grâce aux collaborations. Gainsbourg reconnu que Vannier fût très important pour ce disque, mais si tu vas par là, il y reprend un thème de musique classique, fait référence au Lolita de Kubrick, etc... Il n'empêche que Gainsbourg a composé les bases de ce disque et écrit les textes, ce qui en fait un pur CO. "c'est la collaboration qui a fait toute la carrière de Gainsbourg"... A l'époque où il écrivait pour la rive gauche pendant qu'il pianotait dans les bars pour croûter, il n'avait besoin de personne... même sans Harley Davidson.

Bon depuis dimanche j’ai écouté :







et



Et ça fait du bien par ou ça passe !

En boucle.
Le matin.
L'après-midi.
Le soir.
La nuit.
EN BOUCLE !

hazel a écrit:

En boucle.
Le matin.
L'après-midi.
Le soir.
La nuit.
EN BOUCLE !

Yes, moi j'écouterais que Myth pendant une journée entière.

Ça déchire

The Loner a écrit:

used_spoon a écrit:

Sardequin a écrit:

C’est la collaboration des deux qui fait la force de ce disque !

De toute manière, un grand disque !

Certes, enfin, c'est la collaboration qui a fait toute la carrière de Gainsbourg. Et je souhaitais dénoncer ce fait trop souvent ignoré.

Dylan n'aurait pas été le même sans The Band, sans Lanois pour ses CO, Les Beatles, les uns sans les autres ramaient souvent, Bashung, sans Fauque, ou des musiciens excellent, à l'époque de Play Blessures ou de Fantaisie Militaire, Dutronc sans son parolier fétiche.... On pourrait passer la journée à disserter sur les carrières qui n'ont été viables que grâce aux collaborations. Gainsbourg reconnu que Vannier fût très important pour ce disque, mais si tu vas par là, il y reprend un thème de musique classique, fait référence au Lolita de Kubrick, etc... Il n'empêche que Gainsbourg a composé les bases de ce disque et écrit les textes, ce qui en fait un pur CO. "c'est la collaboration qui a fait toute la carrière de Gainsbourg"... A l'époque où il écrivait pour la rive gauche pendant qu'il pianotait dans les bars pour croûter, il n'avait besoin de personne... même sans Harley Davidson.

Il y a pourtant des textes fabuleux après Melody Nelson. L'homme à la tête de choux, certains textes des albums reggae, inétrieur / extérieur comprend des merveilles, même si musiclament, c'est moins intéressant, idem pour rock around the bunker, vachement osé pour l'époque. Pour le reste, les années 80, faut clairement trier pour y trouver son compte, mais il y a encore de bonnes choses. Enfin, bon, ce n'est que mon avis.

Après midi Miles Davis :

Le plus beau à mon goût:



Les classiques:

the tightrope walker a écrit:

Après midi Miles Davis :

Le plus beau à mon goût:



Les classiques:

A noter que ce dernier est le seul disque, après la consécration de Davis, sur lequel il a accepté d'apparaître en tant que guest et non en tant que leader.

Quel disque, quel disque ! Magique, envoutant, beau !

Sardequin a écrit:

Quel disque, quel disque ! Magique, envoutant, beau !

Jaloux, je suis!

Désolé !

Ah, je viens juste de finir d le’écouter, et je suis encore sur un nuage !

Sardequin a écrit:

Désolé !

Ah, je viens juste de finir d le’écouter, et je suis encore sur un nuage !

Brown est probablement mon sax favori. Son Back To Paris est démentiel.

Je t’avais dit que je les avais vu en concert dans un club de jazz à Toulouse en 1986 ! J’avais même fait des photos, que j’ai égaré dans mes multiples déménagements !

C’était magnifique !

Pfui, j’avais vu ce film quand j’étais au lycée… Titre français : Des fraises et du sang

Ça nous avait donné des idées pour d’éventuelles manifs !

Mais la BO est plutôt classe !

Van Morrison (& The Caledonia Soul Orchestra) - It's Too Late To Stop Now

Beau, beau, beau, et même pas con à la fois.
Pas pour rien qu'il est régulièrement cité parmi les plus grands Live de l'histoire.

Album idéal pour un dimanche matin :



The songs of Leonard Cohen.

Bon heureusement qu’il y a la CDthèque de la bibliothèque d’Aix en Provence :



Mais vu le temps qu’il fait, le blues est de rigueur !

Histoire de mettre un peu de soleil dans ma maison. Dans mon top 20 sans hésitation