William S. Burroughs

(Il paraît que c'est une bonne idée ! )


Les dylaniens avertis, je suppose, ne peuvent que le connaître. Je l’ai découvert tardivement, il y a quelques années, lisant le Festin Nu jusqu’au bout de la nuit, révélation littéraire de l’année qui ne manqua pas de me faire éprouver mille sentiments gluants. Mais au-delà de cet aspect « horrifique » existe une véritable profondeur, habitée par les obsessions de Burroughs en matière de sexualité, de drogue et d’écriture.

Puis, ayant franchi le passage obligé du Festin, j’ai enchaîné dans les semaines qui ont suivi (c’était le bon temps !) avec Junky, Les garçons sauvages, La machine molle… Outre l’évident génie littéraire, on a a affaire à une pensée circulaire, obsédée, une sensibilité visionnaire qui sous une apparence éclatée dissimule un gouffre tragique. Je cherche encore le Destin de Dutsh Shultz… Et je ne saurais que trop conseiller de visionner la version cronenbergienne du Festin, qui a su cerner cette tragique circularité, tout en ne collant pas forcément à l’ouvrage.

Burroughs est l’âme sombre du mouvement Beat, un éclair de folle lucidité qu’on peut deviner à la fin du On the road de Kerouac, et dans ses Souterrains. Mais c’est bien William B. qui vous fait renifler les enfers.

Il a accouché d’une démente descendance paraît-il, si quelqu’un pouvait me donner des noms… Ah, et j’ai retrouvé le clip de la « chanson » de Burroughs sur l’album September Songs :

http://fr.youtube.com/watch?v=AJTIedZVIVQ

(Une traduction ?)

Bonne accroche, félicitations.

Marrant, je me sens comme visée par ces parenthèses... Je regarde à ça de suite.

Ah ok, il me semble que c'est tiré de l'Opéra de Quat'sous. C'est une des plus célèbres chansons interprétées par le personnage de Mackie, où on trouve le fameux vers "la bouffe avant tout, et la morale après". Tom Waits l'a reprise également, de manière peut-être moins vibrante et impressionnante que la version Burroughs que je découvre.

Quant à la traduire, je veux bien, mais tu peux éventuellement en trouver sans doute une bien meilleure adaptation directe de l'allemand dans la pièce en question [vers la fin, si mes souvenirs sont bons].

En français, ça doit donner quelque chose comme "de quoi vit l'homme", je crois.

jude a écrit:

Ah ok, il me semble que c'est tiré de l'Opéra de Quat'sous. C'est une des plus célèbres chansons interprétées par le personnage de Mackie, où on trouve le fameux vers "la bouffe avant tout, et la morale après". Tom Waits l'a reprise également, de manière peut-être moins vibrante et impressionnante que la version Burroughs que je découvre.

Quant à la traduire, je veux bien, mais tu peux éventuellement en trouver sans doute une bien meilleure adaptation directe de l'allemand dans la pièce en question [vers la fin, si mes souvenirs sont bons].

En français, ça doit donner quelque chose comme "de quoi vit l'homme", je crois.

Ok, je ne vais pas te donner du travail supplémentaire, je me pencherai là-dessus...

La voix de Burroughs me fascine... Désormais je l'entendrai dans ses livres... (Aurait pu faire un duo avec le Zim.)

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Ah ok, il me semble que c'est tiré de l'Opéra de Quat'sous. C'est une des plus célèbres chansons interprétées par le personnage de Mackie, où on trouve le fameux vers "la bouffe avant tout, et la morale après". Tom Waits l'a reprise également, de manière peut-être moins vibrante et impressionnante que la version Burroughs que je découvre.

Quant à la traduire, je veux bien, mais tu peux éventuellement en trouver sans doute une bien meilleure adaptation directe de l'allemand dans la pièce en question [vers la fin, si mes souvenirs sont bons].

En français, ça doit donner quelque chose comme "de quoi vit l'homme", je crois.

Ok, je ne vais pas te donner du travail supplémentaire, je me pencherai là-dessus...

La voix de Burroughs me fascine... Désormais je l'entendrai dans ses livres... (Aurait pu faire un duo avec le Zim.)

Il apparaît sur un album de Tom Waits (l'effrayant Black Riders).

jude a écrit:

Bonne accroche, félicitations.

Marrant, je me sens comme visée par ces parenthèses... Je regarde à ça de suite.

Tiens tiens, non seulement notre Jude nationale officie dans la danse de cabaret et dans les farces et attrapes, mais excelle aussi dans l'art de la translation. Je note.

odradek a écrit:

jude a écrit:

Bonne accroche, félicitations.

Marrant, je me sens comme visée par ces parenthèses... Je regarde à ça de suite.

Tiens tiens, non seulement notre Jude nationale officie dans la danse de cabaret et dans les farces et attrapes, mais excelle aussi dans l'art de la translation. Je note.

jude a écrit:

odradek a écrit:

jude a écrit:

Bonne accroche, félicitations.

Marrant, je me sens comme visée par ces parenthèses... Je regarde à ça de suite.

Tiens tiens, non seulement notre Jude nationale officie dans la danse de cabaret et dans les farces et attrapes, mais excelle aussi dans l'art de la translation. Je note.

Ce qui me fait penser que je cherche quelqu'un qui pourrait me traduire la discographie de Jandek...

odradek a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Ah ok, il me semble que c'est tiré de l'Opéra de Quat'sous. C'est une des plus célèbres chansons interprétées par le personnage de Mackie, où on trouve le fameux vers "la bouffe avant tout, et la morale après". Tom Waits l'a reprise également, de manière peut-être moins vibrante et impressionnante que la version Burroughs que je découvre.

Quant à la traduire, je veux bien, mais tu peux éventuellement en trouver sans doute une bien meilleure adaptation directe de l'allemand dans la pièce en question [vers la fin, si mes souvenirs sont bons].

En français, ça doit donner quelque chose comme "de quoi vit l'homme", je crois.

Ok, je ne vais pas te donner du travail supplémentaire, je me pencherai là-dessus...

La voix de Burroughs me fascine... Désormais je l'entendrai dans ses livres... (Aurait pu faire un duo avec le Zim.)

Il apparaît sur un album de Tom Waits (l'effrayant Black Riders).

Magistralement terrible, cet album - lui aussi associé à une oeuvre dramatique, non ? Je vais me le repasser, tiens, mais si je fais des cauchemars cette nuit, je vous en tiendrai pour seuls responsables, messieurs.

[Très cher Oyster, si tu ne connais pas, fonce connaître, ne serait-ce que pour celle que chante Burroughs. Demain, par contre, parce qu'il n'y a pas là de quoi te réconciller avec Morphée.]

Les négociations avec Morphée sont rompues, mais je prends acte et irai chercher ça.

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

odradek a écrit:

jude a écrit:

Bonne accroche, félicitations.

Marrant, je me sens comme visée par ces parenthèses... Je regarde à ça de suite.

Tiens tiens, non seulement notre Jude nationale officie dans la danse de cabaret et dans les farces et attrapes, mais excelle aussi dans l'art de la translation. Je note.

Ce qui me fait penser que je cherche quelqu'un qui pourrait me traduire la discographie de Jandek...

Ok, voici mes conditions :

1. Je veux être payée 25 $ de l'heure - en cas de problème financier, cotise-toi avec Odradek
2. A ce prix, pour que ça soit un minimum lucratif pour moi, je veux traduire l'absolue intégralité de l'oeuvre en question
3. J'exige enfin une assurance médicale, qui couvrirait d'éventuels frais d'internement en milieu psychiatrique

Après quoi, j'aurai fait fortune et je me retirerai à Acapulco.

jude a écrit:

je veux traduire l'absolue intégralité de l'oeuvre en question

T'as deux trois siècles devant toi?

Loner a écrit:

jude a écrit:

je veux traduire l'absolue intégralité de l'oeuvre en question

T'as deux trois siècles devant toi?

Oui, il se trouve qu'en plus de mes nombreux talents, je suis immortelle et forever young.

odradek a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Ah ok, il me semble que c'est tiré de l'Opéra de Quat'sous. C'est une des plus célèbres chansons interprétées par le personnage de Mackie, où on trouve le fameux vers "la bouffe avant tout, et la morale après". Tom Waits l'a reprise également, de manière peut-être moins vibrante et impressionnante que la version Burroughs que je découvre.

Quant à la traduire, je veux bien, mais tu peux éventuellement en trouver sans doute une bien meilleure adaptation directe de l'allemand dans la pièce en question [vers la fin, si mes souvenirs sont bons].

En français, ça doit donner quelque chose comme "de quoi vit l'homme", je crois.

Ok, je ne vais pas te donner du travail supplémentaire, je me pencherai là-dessus...

La voix de Burroughs me fascine... Désormais je l'entendrai dans ses livres... (Aurait pu faire un duo avec le Zim.)

Il apparaît sur un album de Tom Waits (l'effrayant Black Riders).

Jésus, la Burroughs est encore plus flippante que dans mes lointains souvenirs, sorte de Danse de la Fée Dragée à la Tchaïkovski décharnée et cauchemardesque à souhait. Et cette voix de fossoyeur shakespearien à l'ouvrage... "It ain't no sin to take off your skin and dance around your bones".
Sublime au sens burkien, dans la double implication esthétique du terme...

jude a écrit:

Sublime au sens burkien, dans la double implication esthétique du terme...

Ah, ce langage...

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Sublime au sens burkien, dans la double implication esthétique du terme...

Ah, ce langage...

Vilaine manie estudiantine. Vivement que j'arrête l'école, moi.

Aurais-tu réussi à l'écouter ?

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Sublime au sens burkien, dans la double implication esthétique du terme...

Ah, ce langage...

Vilaine manie estudiantine. Vivement que j'arrête l'école, moi.

Aurais-tu réussi à l'écouter ?

Ne fait pas encore partie de ma discothèque - erreur qui sera je l'espère bientôt réparée.

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Sublime au sens burkien, dans la double implication esthétique du terme...

Ah, ce langage...

Vilaine manie estudiantine. Vivement que j'arrête l'école, moi.

Aurais-tu réussi à l'écouter ?

Ne fait pas encore partie de ma discothèque - erreur qui sera je l'espère bientôt réparée.

Sûrement moyen de le trouver en écoute libre en ligne, non ?

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Sublime au sens burkien, dans la double implication esthétique du terme...

Ah, ce langage...

Vilaine manie estudiantine. Vivement que j'arrête l'école, moi.

Aurais-tu réussi à l'écouter ?

Ne fait pas encore partie de ma discothèque - erreur qui sera je l'espère bientôt réparée.

Sûrement moyen de le trouver en écoute libre en ligne, non ?

Euh, je n'ai pas cherché... Je verrai ça, mais tant qu'à faire, si j'ai le moyen de le trouver pour pas cher (je suis un mélomane très près de ses sous), j'aime autant posséder la chose (vieil et lamentable instinct de propriété, n'est-il pas? )

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Sublime au sens burkien, dans la double implication esthétique du terme...

Ah, ce langage...

Vilaine manie estudiantine. Vivement que j'arrête l'école, moi.

Aurais-tu réussi à l'écouter ?

Ne fait pas encore partie de ma discothèque - erreur qui sera je l'espère bientôt réparée.

Sûrement moyen de le trouver en écoute libre en ligne, non ?

Euh, je n'ai pas cherché... Je verrai ça, mais tant qu'à faire, si j'ai le moyen de le trouver pour pas cher (je suis un mélomane très près de ses sous), j'aime autant posséder la chose (vieil et lamentable instinct de propriété, n'est-il pas? )

Je suis mille fois pire que toi, mon pauvre...

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Sublime au sens burkien, dans la double implication esthétique du terme...

Ah, ce langage...

Vilaine manie estudiantine. Vivement que j'arrête l'école, moi.

Aurais-tu réussi à l'écouter ?

Ne fait pas encore partie de ma discothèque - erreur qui sera je l'espère bientôt réparée.

Sûrement moyen de le trouver en écoute libre en ligne, non ?

Euh, je n'ai pas cherché... Je verrai ça, mais tant qu'à faire, si j'ai le moyen de le trouver pour pas cher (je suis un mélomane très près de ses sous), j'aime autant posséder la chose (vieil et lamentable instinct de propriété, n'est-il pas? )

Je suis mille fois pire que toi, mon pauvre...

Carrément ? Comment ? - et sur la base de quels critères ?

Parfois je rôde sur les plate-formes de téléchargement, et je contemple toutes ces choses que je ne téléchargerai pas, en vue d'un tout à fait hypothétique achat (qui donc n'aura pas lieu)...

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Sublime au sens burkien, dans la double implication esthétique du terme...

Ah, ce langage...

Vilaine manie estudiantine. Vivement que j'arrête l'école, moi.

Aurais-tu réussi à l'écouter ?

Ne fait pas encore partie de ma discothèque - erreur qui sera je l'espère bientôt réparée.

Sûrement moyen de le trouver en écoute libre en ligne, non ?

Euh, je n'ai pas cherché... Je verrai ça, mais tant qu'à faire, si j'ai le moyen de le trouver pour pas cher (je suis un mélomane très près de ses sous), j'aime autant posséder la chose (vieil et lamentable instinct de propriété, n'est-il pas? )

Je suis mille fois pire que toi, mon pauvre...

Carrément ? Comment ? - et sur la base de quels critères ?

Parfois je rôde sur les plate-formes de téléchargement, et je contemple toutes ces choses que je ne téléchargerai pas, en vue d'un tout à fait hypothétique achat (qui donc n'aura pas lieu)...

Pauvre petite chose ! Je retire ce que j'ai écrit précédemment, c'est toi le pire, en fin de compte...

Je voulais simplement dire par là que nous partageons ce lamentable instinct de possession auquel tu fais allusion, seulement je préfère me ruiner force d'achats compulsifs plutôt que de sombrer dans la frustration.

jude a écrit:

Pauvre petite chose !

Quelle familiarité !

jude a écrit:

Je voulais simplement dire par là que nous partageons ce lamentable instinct de possession auquel tu fais allusion, seulement je préfère me ruiner force d'achats compulsifs plutôt que de sombrer dans la frustration.

Frustration, c'est bien le mot, en dépit de tout ce qu'on peut lire sur les bas instincts de propriété ; bah, je me rattraperai (en plus il me semble que Black Rider est trouvable pour pas cher).

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Pauvre petite chose !

Quelle familiarité !

jude a écrit:

Je voulais simplement dire par là que nous partageons ce lamentable instinct de possession auquel tu fais allusion, seulement je préfère me ruiner force d'achats compulsifs plutôt que de sombrer dans la frustration.

Frustration, c'est bien le mot, en dépit de tout ce qu'on peut lire sur les bas instincts de propriété ; bah, je me rattraperai (en plus il me semble que Black Rider est trouvable pour pas cher).

Aurais-je encore manqué quelque chose ?

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Pauvre petite chose !

Quelle familiarité !

jude a écrit:

Je voulais simplement dire par là que nous partageons ce lamentable instinct de possession auquel tu fais allusion, seulement je préfère me ruiner force d'achats compulsifs plutôt que de sombrer dans la frustration.

Frustration, c'est bien le mot, en dépit de tout ce qu'on peut lire sur les bas instincts de propriété ; bah, je me rattraperai (en plus il me semble que Black Rider est trouvable pour pas cher).

Aurais-je encore manqué quelque chose ?

C'est le "pas cher" qui te fait te retourner ainsi ?

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

jude a écrit:

Pauvre petite chose !

Quelle familiarité !

jude a écrit:

Je voulais simplement dire par là que nous partageons ce lamentable instinct de possession auquel tu fais allusion, seulement je préfère me ruiner force d'achats compulsifs plutôt que de sombrer dans la frustration.

Frustration, c'est bien le mot, en dépit de tout ce qu'on peut lire sur les bas instincts de propriété ; bah, je me rattraperai (en plus il me semble que Black Rider est trouvable pour pas cher).

Aurais-je encore manqué quelque chose ?

C'est le "pas cher" qui te fait te retourner ainsi ?

Non, mais laisse tomber.

Comme demandé par Mr Oyster,voici la liste des enregistrements de WS Burroughs :

1965 - Call Me Burroughs. English Bookshop.
1971 - vocals dans "obsolète" de dashiell hedayat. shandar (LP, 1971) puis mantra (cd, 1992)
1975 - William S. Burroughs/John Giorno. Giorno Poetry Systems.
1981 - "You're The Guy I Want To Share My Money With" (avec Laurie Anderson et John Giorno) Giorno Poetry Systems.
1982 - Nothing Here Now but the Recordings. Industrial Records.
1982 - Revolutions Per Minute (The Art Record). Ronald Feldmann Fine Arts.
1982 - Old Lady Sloan. Fresh Sounds.
1983 - "Big Science" (avec Laurie Anderson)
1984 - "Sharkey's Night", de Laurie Anderson, sur l’album « Mister Heartbreak »
1985 - "The Elvis of Letters" (avec Gus Van Sant)
1986 - "Home Of The Brave" (avec Laurie Anderson)
1989 - "Seven Souls" de Material
1992 - "The ‘Priest’, They Called Him" (avec Kurt Cobain). Tim Kerr Records.
1990- Dead City Radio.FilmsIsland Records, avec John Cale et Sonic Youth.
1993 - "Spare Ass Annie & Other Tales", avec Disposable Heroes of Hiphoprisy
1993 - "Quick Fix", de Ministry, sur l’album « Just One Fix »
1993 - "T'Aint No Sin", de Tom Waits, sur l’opéra rock « The Black Rider »
1994 - "Words of Advice", de Material, sur l’album « Hallucination Engine »
1996 - "Star Me Kitten" (avec R.E.M.), sur la B.O. « Songs in the Key of X: Music from and Inspired by The X-Files »
1997 - "What Keeps Mankind Alive", sur l’album « September Songs: The Music of Kurt Weill »
1999 - "The Western Lands" (avec Iggy Pop), sur l’album « Hashisheen: The End of Law »
2001 - "Break Through in Grey Room". Textes Lus.
2006 - "Dr. Benway" (du groupe Underwires) sur l'album In Your Room Again.

Merci bien ! (ce sera plus simple à retrouver en prévision de mes emplettes).

Mr. Oyster a écrit:

Merci bien ! (ce sera plus simple à retrouver en prévision de mes emplettes).

Il a pas mal collaboré avec Laurie Anderson .. que je ne connais pas encore mais qui m'a l'air d'être une artiste fort interessante ..
donc je te conseille(et je me conseille)de commencer par là.

Ca y est, je l'ai !!

Je me le garde au frais pour quand la nuit sera bien avancée...