Théories mathématiques de Bob

Est-ce que quelqu’un d’ici (ce forum) a compris ou élaboré quelque chose à partir des considérations mathématiformes de Bob Dylan telles qu’il les expose (en les dissimulant — mais ça c’est Bob) dans les Chronicles (le fameux passage où il révèle en le cachant l’enseignement de Lonnie Johnson) ? Inutile de me communiquer les liens. Je demande : est-ce que quelqu’un y a compris une chose concrète et pratique, musicalement ? On l’aura bien senti : j’ai des doutes.

Tu parles du moment où il évoque ces fameuses répétitions infinies des mêmes notes, mais dans des ordres différents ?

C'est vrai que cette affaire est plutôt cryptée, j'en ai pas compris grand chose moi non plus. Déjà, il faudrait savoir si il applique ça à uniquement sa voix ou aussi à son approche instrumentale.

Moi il me semble que c'est les deux, vu la façon dont son jeu de guitare évolue à partir des années '90 (il passe d'un truc plutôt rythmique à un jeu en "lead" très reconnaissable, assez saccadé, répétitif, qui crée en quelques sortes de nouvelles harmonies dans le morceau, une nouvelle mélodie en fait.)

Depuis quelques années au piano, c'est un peu pareil, on l'entend souvent répéter les mêmes motifs sur son clavier, recommencer, etc... Je pense que ça a un rapport, mais comme je n'ai aucune connaissance théorique, je ne pourrai pas en dire plus !!

En cherchant, j’ai trouvé Things Twice d’Eyolf Ostrem (le musicologue norvégien fan de Dylan) qui a écrit tout un chapitre (le chapitre 5) sur la question. Je vais regarder ça de près.