Vi, mais c'est là que les non-anglophones de naissance ont un avantage capital : on peut écouter en faisant abstraction des paroles, entendre juste des syllabes, des sons. Puisque généralement, il nous faut faire un effort pour les comprendre, sans parler de ceux qui ont besoin de les voir écrites pour les comprendre.
Ce que ne peut pas faire quelqu'un dont c'est la langue natale (donc la grande majorité des critiques rock), c'est impossible. Du coup, le préchi-précha en a gravement refroidi plus d'un, et ils ne vont pas conseiller d'acheter un disque de rock pour entendre le curé du quartier.
(Maintenant, je dis ça, je n'ai jamais fait attention aux parole de Saved, puisqu'on m'avait inculqué que ça craignait. Juste capté quelques mots par inadvertance, et c'est pas gênant, gentiment surréaliste.
Mais je ne sais pas si elles sont si nazes que ça, en fait).