Avec quelle(s) chanson(s) avez-vous découvert Dylan ?

Tout est dans le titre...

Et à quand cela remonte-t-il ?
Des souvenirs précis de cette découverte ?

Et votre premier album studio ?



Alors moi j'ai découvert directement avec un best of. En 2001.
J'aime pas ça en tant normal, mais j'avais vu cette compil qui prenait la poussière chez un copain...je ne connaissais que de nom.
J'étais intrigué.




1. Blowin' in the Wind
2. Times They Are A-Changin'
3. Don't Think Twice, It's All Right
4. Mr. Tambourine Man
5. Like a Rolling Stone
6. Just Like a Woman
7. All Along the Watchtower
8. Lay Lady Lay
9. I Shall Be Released
10. If Not for You
11. Knockin' on Heaven's Door
12. Forever Young
13. Tangled Up in Blue
14. Oh, Sister
15. Gotta Serve Somebody
16. Jokerman
17. Everything Is Broken
18. Shelter from the Storm

Je me souviens avoir de suite accroché à sa voix.
On dit parfois qu'il faut un certain temps d'acclimatation avec Dylan mais je n'y crois pas trop. On est fasciné direct ou pas. Et moi je l'ai été.

Je connaissais le bonhomme seulement de nom même si à la première écoute certaines mélodies ne m'étaient pas inconnues (Blowin' in the wind, Mr. Tambourine man, Like a Rolling Stone, Just like a woman, Knockin' on heaven's door).
Je me souviens aussi avoir quasi détesté Lay Lady Lay, j'ai mis du temps avant de l'apprécier. Maintenant, c'est ok.
En fait j'aimais surtout la première partie du best of, jusqu'en 73.

J'ai ensuite acheté Blonde on Blonde et Bringing it all back home que j'ai écouté en boucle durant un an ou deux. Puis je me suis procuré tous ses premiers disques. A m'en gaver. Et c'est ainsi que H61R est devenu mon album préféré du Zimm.
C'est seulement deux ou trois années plus tard que j'ai commencé à me pencher sur sa seconde partie de carrière....

Enfin voilà.


Et vous alors ?

Just Like a Woman. Sous une tente, dans les Alpes, pendant un orage.

Mr. Oyster a écrit:

Just Like a Woman. Sous une tente, dans les Alpes, pendant un orage.

Et ?

C'était il y a très longtemps. Les Beatles envahissaient les ondes, tout le monde voulait ressembler aux Beatles, la musique c'était les Beatles.

Ou les Stones.

Les méchants Stones contre les gentils Beatles (en France : Chats Sauvages vs Chaussettes Noires).

Les charts chartaient, tout était parfait dans le meilleur des mondes - jusqu'au jour où...

Jusqu'au jour où retentit Like a rolling stones. Je me souviens encore, je n'en croyais pas mes oreilles : une telle intensité était-elle possible ?

Ni méchant, ni gentil - l'ange du bizarre avait frappé.

Mr. Jones a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

Just Like a Woman. Sous une tente, dans les Alpes, pendant un orage.

Et ?

Je me suis acheté The Essential. Quelques mois après, je me payais un billet pour le Zénith de Paris, et Time out of mind - raisons pour lesquelles je dirai que j'ai accédé à Dylan par le vieux Bob. Sa voix conversait avec mes viscères.
Au fur et à mesure que j'ai acheté les autres albums, j'ai découvert qu'il y avait sous le chapeau du vieil homme d'innombrables Dylan. Maintenant, ils squattent mon bar jusque tard le soir.

Pour moi, c'est vraiment le hasard.

J'ai écouté un jour une cassette audio où mon père avait enregistré un medley de plein de chanteurs (un peu de tout et n'importe quoi).

Quand je suis tombée sur "Lily Of The West".

Ca a été le déclic.

Par contre, vraiment dommage, mon père avait ce 45 t. mais je n'y avais jamais fait trop attention..j'aurai pû connaitre Dylan beaucoup plus tôt.


Voilà..

odradek a écrit:

C'était il y a très longtemps. Les Beatles envahissaient les ondes, tout le monde voulait ressembler aux Beatles, la musique c'était les Beatles.

Ou les Stones.

Les méchants Stones contre les gentils Beatles (en France : Chats Sauvages vs Chaussettes Noires).

Les charts chartaient, tout était parfait dans le meilleur des mondes - jusqu'au jour où...

Jusqu'au jour où retentit Like a rolling stones. Je me souviens encore, je n'en croyais pas mes oreilles : une telle intensité était-elle possible ?

Ni méchant, ni gentil - l'ange du bizarre avait frappé.

Tu es en train de me dire que tu as vécu la sortie de Like a Rolling Stone en 65??!!
Mais mais, il faut que tu développes là !

En France on s'en foutait un peu, non... ?

Mr. Oyster a écrit:

Mr. Jones a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

Just Like a Woman. Sous une tente, dans les Alpes, pendant un orage.

Et ?

Je me suis acheté The Essential. Quelques mois après, je me payais un billet pour le Zénith de Paris, et Time out of mind - raisons pour lesquelles je dirai que j'ai accédé à Dylan par le vieux Bob. Sa voix conversait avec mes viscères.
Au fur et à mesure que j'ai acheté les autres albums, j'ai découvert qu'il y avait sous le chapeau du vieil homme d'innombrables Dylan. Maintenant, ils squattent mon bar jusque tard le soir.

Le "Et ?" c'était pour ton ressenti immédiat sous la tente.

Sinon, c'est plutôt rare de plus ou moins commencer par le vieux Dylan.
L'arrivée du concert n'était pas trop précoce ? Vu que j'imagine tu n'as pas eu trop le temps de t'acclimater à sa voix 90's 00's (même s'il a quelques morceaux "récents" sur The Essential).

Mr. Jones a écrit:

odradek a écrit:

C'était il y a très longtemps. Les Beatles envahissaient les ondes, tout le monde voulait ressembler aux Beatles, la musique c'était les Beatles.

Ou les Stones.

Les méchants Stones contre les gentils Beatles (en France : Chats Sauvages vs Chaussettes Noires).

Les charts chartaient, tout était parfait dans le meilleur des mondes - jusqu'au jour où...

Jusqu'au jour où retentit Like a rolling stones. Je me souviens encore, je n'en croyais pas mes oreilles : une telle intensité était-elle possible ?

Ni méchant, ni gentil - l'ange du bizarre avait frappé.

Tu es en train de me dire que tu as vécu la sortie de Like a Rolling Stone en 65??!!
Mais mais, il faut que tu développes là !

En France on s'en foutait un peu, non... ?

Non, on ne s'en foutait pas tant que ça : quelques temps avant, Richard Anthony avait repris Blowin' in the wind et Hugues Aufray avait sorti un LP de reprises, assez bien acceuilli. Mais le plus étrange dans tout ça, c'est que LARS n'était pas présenté comme étant une chanson du même artiste qui a écrit et interprété Blowin' in the wind, Mr Tambourine man etc, mais quelque chose d'assez vague - si bien qu'il fallait du temps, et un peu de connaissace musicale pour faire le lien. Un météorite, en somme. Un truc gênant, difficile à expliquer, et à contenir.

Old Maid a écrit:

Pour moi, c'est vraiment le hasard.
J'ai écouté un jour une cassette audio où mon père avait enregistré un medley de plein de chanteurs (un peu de tout et n'importe quoi).
Quand je suis tombée sur "Lily Of The West".
Ca a été le déclic.

Il a vraiment une bonne voix sur ces outtakes. J'écoute pas souvent mais j'aime bien.

Mr. Jones a écrit:

Old Maid a écrit:

Pour moi, c'est vraiment le hasard.
J'ai écouté un jour une cassette audio où mon père avait enregistré un medley de plein de chanteurs (un peu de tout et n'importe quoi).
Quand je suis tombée sur "Lily Of The West".
Ca a été le déclic.

Il a vraiment une bonne voix sur ces outtakes. J'écoute pas souvent mais j'aime bien.

Disons, qu'il faut faire abstraction des choeurs atroces qui l'accompagnent.

Mr. Jones a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

Mr. Jones a écrit:

Mr. Oyster a écrit:

Just Like a Woman. Sous une tente, dans les Alpes, pendant un orage.

Et ?

Je me suis acheté The Essential. Quelques mois après, je me payais un billet pour le Zénith de Paris, et Time out of mind - raisons pour lesquelles je dirai que j'ai accédé à Dylan par le vieux Bob. Sa voix conversait avec mes viscères.
Au fur et à mesure que j'ai acheté les autres albums, j'ai découvert qu'il y avait sous le chapeau du vieil homme d'innombrables Dylan. Maintenant, ils squattent mon bar jusque tard le soir.

Le "Et ?" c'était pour ton ressenti immédiat sous la tente.

Sinon, c'est plutôt rare de plus ou moins commencer par le vieux Dylan.
L'arrivée du concert n'était pas trop précoce ? Vu que j'imagine tu n'as pas eu trop le temps de t'acclimater à sa voix 90's 00's (même s'il a quelques morceaux "récents" sur The Essential).

La foudre a traversé la tente.
Quant à ma rencontre avec Old Bob en live, les premères secondes furent très déstabilisantes - un très étonnant vertige. Pendant le Maggie's farm qui ouvrait le concert, j'étais hypnotisé - cette voix boueuse, j'y tenais déjà comme à la prunelle de mes yeux.

odradek a écrit:

Non, on ne s'en foutait pas tant que ça : quelques temps avant, Richard Anthony avait repris Blowin' in the wind et Hugues Aufray avait sorti un LP de reprises, assez bien acceuilli. Mais le plus étrange dans tout ça, c'est que LARS n'était pas présenté comme étant une chanson du même artiste qui a écrit et interprété Blowin' in the wind, Mr Tambourine man etc, mais quelque chose d'assez vague - si bien qu'il fallait du temps, et un peu de connaissace musicale pour faire le lien. Un météorite, en somme. Un truc gênant, difficile à expliquer, et à contenir.

Oui c'est vrai, il y a eu les reprises d'Hughes Aufray. Mais je sais pas j'ai dû mal à imaginer que ce déluge électrique de son et de mots (en anglais qui plus est) ait fait un tabac en France...
Tu te souviens de ce que ça avait donné niveau charts ?

Mr. Jones a écrit:

odradek a écrit:

Non, on ne s'en foutait pas tant que ça : quelques temps avant, Richard Anthony avait repris Blowin' in the wind et Hugues Aufray avait sorti un LP de reprises, assez bien acceuilli. Mais le plus étrange dans tout ça, c'est que LARS n'était pas présenté comme étant une chanson du même artiste qui a écrit et interprété Blowin' in the wind, Mr Tambourine man etc, mais quelque chose d'assez vague - si bien qu'il fallait du temps, et un peu de connaissace musicale pour faire le lien. Un météorite, en somme. Un truc gênant, difficile à expliquer, et à contenir.

Oui c'est vrai, il y a eu les reprises d'Hughes Aufray. Mais je sais pas j'ai dû mal à imaginer ce déluge électrique de son et de mots (en anglais qui plus est) ait fait un tabac....en France
Tu te souviens ce que ça avait donné niveau charts ?

LARS était resté n°1 quelques jours en France - me souviens plus des chansons en compétition, il faudrait explorer cet aspect des choses...

I want You, il y a un an environ, au détour d'une compilation organisée sur un autre forum. Je ne connaissais Dylan bien avant, mais je n'avais jamais accroché plus que çà, et là, Bing, le coup de foudra absolue, et depuis, je dois avoir une quarantaine de disques (entre officiels et bootlegs...)

Pas de chance : avec l'horrible "Knocked Out Loaded" (1986) !

Par "Hurricaine", avec ma soeur on en revenait pas !

Ayler a écrit:

Pas de chance : avec l'horrible "Knocked Out Loaded" (1986) !

Pfffffff c'est dur ça.

Planet waves a écrit:

Ayler a écrit:

Pas de chance : avec l'horrible "Knocked Out Loaded" (1986) !

Pfffffff c'est dur ça.

Clairement, çà encourage pas.

Ayler a écrit:

Pas de chance : avec l'horrible "Knocked Out Loaded" (1986) !

(Bienvenue Ayler ! -sympa le pseudo )

alors moi il me semble que c'était avec les albums "A fool such as I" et "Desire"
que j'ai decouvert Dylan.
je devai avoir 8/9ans et mon pere avait(et a toujours) une belle collection de vinyls de Dylan.
je me rapel lui demander de lancer la platine(pck a 8ans c'est pas facile :)et attendre la voix si speciale de mister Dylan.
voila par la suite j'ai laché quelques temps ce style de musique avant de retourner dans le droit chemin de Bob.

Je ne sais pas, certainement avec Hugues Aufray autour d’un feu de camp. Après il y avait les étoiles, les étoiles et ma main dans la petite culotte d’une fille sous les étoiles. Le lendemain Graeme Allwright et encore les étoiles mais plus la fille. Savez–vous que Graeme Allwright reprenais assez bien Jackson C Frank ? Je perds ou bien je gagne (Blues Run the Game) ! Avec les filles c’est souvent perdu d’avance, avec les étoiles c’est mieux, il y en a toujours des étoiles.

Raoul a écrit:

Je ne sais pas, certainement avec Hugues Aufray autour d’un feu de camp. Après il y avait les étoiles, les étoiles et ma main dans la petite culotte d’une fille sous les étoiles. Le lendemain Graeme Allwright et encore les étoiles mais plus la fille. Savez–vous que Graeme Allwright reprenais assez bien Jackson C Frank ? Je perds ou bien je gagne (Blues Run the Game) ! Avec les filles c’est souvent perdu d’avance, avec les étoiles c’est mieux, il y en a toujours des étoiles.

Là où les filles et les étoiles se rejoignent, c'est lorsqu'il y a des nuages, et que ce soit avec les étoiles, ou avec les filles, il finit toujours pas y avoir des nuages.

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Je ne sais pas, certainement avec Hugues Aufray autour d’un feu de camp. Après il y avait les étoiles, les étoiles et ma main dans la petite culotte d’une fille sous les étoiles. Le lendemain Graeme Allwright et encore les étoiles mais plus la fille. Savez–vous que Graeme Allwright reprenais assez bien Jackson C Frank ? Je perds ou bien je gagne (Blues Run the Game) ! Avec les filles c’est souvent perdu d’avance, avec les étoiles c’est mieux, il y en a toujours des étoiles.

Là où les filles et les étoiles se rejoignent, c'est lorsqu'il y a des nuages, et que ce soit avec les étoiles, ou avec les filles, il finit toujours pas y avoir des nuages.

Oui mais les filles sont souvent sous les nuages et les étoiles toujours au-dessus...

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Je ne sais pas, certainement avec Hugues Aufray autour d’un feu de camp. Après il y avait les étoiles, les étoiles et ma main dans la petite culotte d’une fille sous les étoiles. Le lendemain Graeme Allwright et encore les étoiles mais plus la fille. Savez–vous que Graeme Allwright reprenais assez bien Jackson C Frank ? Je perds ou bien je gagne (Blues Run the Game) ! Avec les filles c’est souvent perdu d’avance, avec les étoiles c’est mieux, il y en a toujours des étoiles.

Là où les filles et les étoiles se rejoignent, c'est lorsqu'il y a des nuages, et que ce soit avec les étoiles, ou avec les filles, il finit toujours pas y avoir des nuages.

Oui mais les filles sont souvent sous les nuages et les étoiles toujours au-dessus...

Fichtre, c'est pourtant vrai. Rien ne sert donc de courir après les filles, et je ne peux pas attraper les étoiles. La vie n'a aucun sens.

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Je ne sais pas, certainement avec Hugues Aufray autour d’un feu de camp. Après il y avait les étoiles, les étoiles et ma main dans la petite culotte d’une fille sous les étoiles. Le lendemain Graeme Allwright et encore les étoiles mais plus la fille. Savez–vous que Graeme Allwright reprenais assez bien Jackson C Frank ? Je perds ou bien je gagne (Blues Run the Game) ! Avec les filles c’est souvent perdu d’avance, avec les étoiles c’est mieux, il y en a toujours des étoiles.

Là où les filles et les étoiles se rejoignent, c'est lorsqu'il y a des nuages, et que ce soit avec les étoiles, ou avec les filles, il finit toujours pas y avoir des nuages.

Oui mais les filles sont souvent sous les nuages et les étoiles toujours au-dessus...

Fichtre, c'est pourtant vrai. Rien ne sert donc de courir après les filles, et je ne peux pas attraper les étoiles. La vie n'a aucun sens.

Voilà... Sauf que nous sommes aussi des bouts d'étoiles, même les filles, et que là tout se complique...

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Je ne sais pas, certainement avec Hugues Aufray autour d’un feu de camp. Après il y avait les étoiles, les étoiles et ma main dans la petite culotte d’une fille sous les étoiles. Le lendemain Graeme Allwright et encore les étoiles mais plus la fille. Savez–vous que Graeme Allwright reprenais assez bien Jackson C Frank ? Je perds ou bien je gagne (Blues Run the Game) ! Avec les filles c’est souvent perdu d’avance, avec les étoiles c’est mieux, il y en a toujours des étoiles.

Là où les filles et les étoiles se rejoignent, c'est lorsqu'il y a des nuages, et que ce soit avec les étoiles, ou avec les filles, il finit toujours pas y avoir des nuages.

Oui mais les filles sont souvent sous les nuages et les étoiles toujours au-dessus...

Fichtre, c'est pourtant vrai. Rien ne sert donc de courir après les filles, et je ne peux pas attraper les étoiles. La vie n'a aucun sens.

Voilà... Sauf que nous sommes aussi des bouts étoiles, même les filles, et que là tout se complique...

C'est donc çà, la réponse à tout. Mis bout à bout, nous formons un tout. Comme quoi, Dylan possède plusieurs degrés d'écoute.

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Je ne sais pas, certainement avec Hugues Aufray autour d’un feu de camp. Après il y avait les étoiles, les étoiles et ma main dans la petite culotte d’une fille sous les étoiles. Le lendemain Graeme Allwright et encore les étoiles mais plus la fille. Savez–vous que Graeme Allwright reprenais assez bien Jackson C Frank ? Je perds ou bien je gagne (Blues Run the Game) ! Avec les filles c’est souvent perdu d’avance, avec les étoiles c’est mieux, il y en a toujours des étoiles.

Là où les filles et les étoiles se rejoignent, c'est lorsqu'il y a des nuages, et que ce soit avec les étoiles, ou avec les filles, il finit toujours pas y avoir des nuages.

Oui mais les filles sont souvent sous les nuages et les étoiles toujours au-dessus...

Fichtre, c'est pourtant vrai. Rien ne sert donc de courir après les filles, et je ne peux pas attraper les étoiles. La vie n'a aucun sens.

Voilà... Sauf que nous sommes aussi des bouts étoiles, même les filles, et que là tout se complique...

C'est donc çà, la réponse à tout. Mis bout à bout, nous formons un tout. Comme quoi, Dylan possède plusieurs degrés d'écoute.

voilà comme le Guigal

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Je ne sais pas, certainement avec Hugues Aufray autour d’un feu de camp. Après il y avait les étoiles, les étoiles et ma main dans la petite culotte d’une fille sous les étoiles. Le lendemain Graeme Allwright et encore les étoiles mais plus la fille. Savez–vous que Graeme Allwright reprenais assez bien Jackson C Frank ? Je perds ou bien je gagne (Blues Run the Game) ! Avec les filles c’est souvent perdu d’avance, avec les étoiles c’est mieux, il y en a toujours des étoiles.

Là où les filles et les étoiles se rejoignent, c'est lorsqu'il y a des nuages, et que ce soit avec les étoiles, ou avec les filles, il finit toujours pas y avoir des nuages.

Oui mais les filles sont souvent sous les nuages et les étoiles toujours au-dessus...

Fichtre, c'est pourtant vrai. Rien ne sert donc de courir après les filles, et je ne peux pas attraper les étoiles. La vie n'a aucun sens.

Voilà... Sauf que nous sommes aussi des bouts étoiles, même les filles, et que là tout se complique...

C'est donc çà, la réponse à tout. Mis bout à bout, nous formons un tout. Comme quoi, Dylan possède plusieurs degrés d'écoute.

être mis bout à bout, c'est excitant. Être mis en bouche l'est plus encore.

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Gregor Samsa a écrit:

Raoul a écrit:

Je ne sais pas, certainement avec Hugues Aufray autour d’un feu de camp. Après il y avait les étoiles, les étoiles et ma main dans la petite culotte d’une fille sous les étoiles. Le lendemain Graeme Allwright et encore les étoiles mais plus la fille. Savez–vous que Graeme Allwright reprenais assez bien Jackson C Frank ? Je perds ou bien je gagne (Blues Run the Game) ! Avec les filles c’est souvent perdu d’avance, avec les étoiles c’est mieux, il y en a toujours des étoiles.

Là où les filles et les étoiles se rejoignent, c'est lorsqu'il y a des nuages, et que ce soit avec les étoiles, ou avec les filles, il finit toujours pas y avoir des nuages.

Oui mais les filles sont souvent sous les nuages et les étoiles toujours au-dessus...

Fichtre, c'est pourtant vrai. Rien ne sert donc de courir après les filles, et je ne peux pas attraper les étoiles. La vie n'a aucun sens.

Voilà... Sauf que nous sommes aussi des bouts étoiles, même les filles, et que là tout se complique...

C'est donc çà, la réponse à tout. Mis bout à bout, nous formons un tout. Comme quoi, Dylan possède plusieurs degrés d'écoute.

voilà comme le Guigal

Ce propos ne serait-il pas légèrement aviné?