Films

dr.out a écrit:

Voir le pote de Spider-Man dans le rôle de Ginsberg ça dois faire un choque, non?

Alors ça je peux pas dire. Je fréquente peu Spiderman et ses potes.

Mr. Oyster a écrit:

dr.out a écrit:

Voir le pote de Spider-Man dans le rôle de Ginsberg ça dois faire un choque, non?

Alors ça je peux pas dire. Je fréquente peu Spiderman et ses potes.

Les hommes en collants, ça fait mauvais genre.

alipunk' a écrit:

Pétard mouillé ou vraie réussite ?

Eustache : Mes petites amoureuses.

Desmos a écrit:

alipunk' a écrit:

Pétard mouillé ou vraie réussite ?

Vraie Réussite !

Incendies à voir !

127 Heures.

Desmos a écrit:

127 Heures.

Trop long.

The Loner a écrit:

Desmos a écrit:

127 Heures.

Trop long.

C'est vrai en plus . Mais bien foutu aussi. Et James Franco est vraiment bon.

Desmos a écrit:

The Loner a écrit:

Desmos a écrit:

127 Heures.

Trop long.

C'est vrai. Mais bien foutu aussi. Et James Franco est vraiment bon.

En tout cas, la bande annonce me donne vraiment envie de le voir.
Merci Desmos.

Inception.
Elephant Man.

Et cette semaine, Festoch !

Ghost Writer.
Paul en ski plus fort que James Bond

Double séance Coenienne, et puisque qu'Oyster m'en a donné envie :



Polanski en a encore dans le ventre !

Desmos a écrit:

Excellent !

Desmos a écrit:

J'ai adoré mais ai énormément été perturbé par la fin qui m'a laissé sur ma faim.
Je suis peut-être passé à côté de quelque chose... quelqu'un peut-il m'éclairer ?

Desmos a écrit:

Pas encore vu.

Oui, c'est vrai que la fin de "A Serious Man" m'a extrêmement perturbé aussi , au point que j'aille voir du côté des différentes analyse et interprétations de la presse au moment de la sortie du film. La plupart s'accorde à dire qu'il s'agissait là de quelque chose d'extrêmement personnel, limite "private joke", et qu'il ne fallait pas y voir autre chose qu'un genre de clin d'oeil inaccessible au grand public, avec pour effet recherché de lui laisser une impression d'insatisfaction, de ne pas avoir saisi toutes les clés du film. Bref, qu'en gros c'est dela déstabilisation volontaire.

Desmos a écrit:

Oui, c'est vrai que la fin de "A Serious Man" m'a extrêmement perturbé aussi , au point que j'aille voir du côté des différentes analyse et interprétations de la presse au moment de la sortie du film. La plupart s'accorde à dire qu'il s'agissait là de quelque chose d'extrêmement personnel, limite "private joke", et qu'il ne fallait pas y voir autre chose qu'un genre de clin d'oeil inaccessible au grand public, avec pour effet recherché de lui laisser une impression d'insatisfaction, de ne pas avoir saisi toutes les clés du film. Bref, qu'en gros c'est dela déstabilisation volontaire.

Ok !
En même temps, c'est quand même le troisième film qui se termine de manière abrupte. Burn After Reading et No Country for Old Men ont tous les deux une fin sèche et rapide.
Enfin, celui-ci est le plus radical.

Desmos a écrit:

Polanski en a encore dans le ventre !

J'ai adoré.

Sinon, entre les thémas Jarmush, Marcel Carné et Visconti, le Tess de Polanski, le Mankiewicz et le Fritz Lang, programmation de folie au cinéma rue Champollion, je vais passer ma semaine dans ses rouges et bleus fauteuils moelleux.

Noulé a écrit:

Desmos a écrit:

Polanski en a encore dans le ventre !

J'ai adoré.

Sinon, entre les thémas Jarmush, Marcel Carné et Visconti, le Tess de Polanski, le Mankiewicz et le Fritz Lang, programmation de folie au cinéma rue Champollion, je vais passer ma semaine dans ses rouges et bleus fauteuils moelleux.

Oui, très bon le Polanski . D'habitude les thrillers à tendance politique me font chier comme c'est pas permis, mais là, l'ambiance et les dialogues sont tels que tu ne peut t'empêcher d'être à fond dans le film. En plus Polanski évite le plus gros défaut des films de ce genre, une intrigue complexe au ridicule qui ne sert qu'à larguer le spectateur en cours de route. Ici, histoire simple et efficace, sans pour autant prendre le spectateur pour un con. Bref, j'ai adoré aussi.

pas de vacances pour les idoles ( oui c'est un film québécois )

No fun a écrit:

pas de vacances pour les idoles ( oui c'est un film québécois )

Yoyo
Pluie Noire
Charles Bukowki (interview par Barbet Schroeder)
L'ami Américain
La Collectionneuse
Le troisième Homme
Le Mystère Von Bülow
Le Beau Serge
Tricheurs
La ruée vers l'or
A la vie à la mort !
Les sentiments
Calculs meurtriers
La Marquise d'O...
Rancho Notorious
Et ..... Barfly, scénario de Charles Bukowski ! Avec Rourke une tuerie !

C'est vraiment la catastwood !

Noulé a écrit:

Sinon, entre les thémas Jarmush, Marcel Carné et Visconti, le Tess de Polanski, le Mankiewicz et le Fritz Lang, programmation de folie au cinéma rue Champollion, je vais passer ma semaine dans ses rouges et bleus fauteuils moelleux.

Du coup, cet après-midi:


Je ne sais pas qui de Nastassia Kinski ou de la lumière magnifiquement saisie irradie le plus, mais tout ce qui est porté au devant de cette caméra ou auprès de cette actrice, qu'en sais-je, parait soudainement gracieux. Le moindre élément de décor, le moindre froissement d'étoffe. L'infinie tristesse qui s'en dégage aussi, creusant le coeur à mesure que les malheurs s'entassent, m'a fait sortir de la salle un peu égarée.
Mais c'est beau, très beau.

Noulé a écrit:

Noulé a écrit:

Sinon, entre les thémas Jarmush, Marcel Carné et Visconti, le Tess de Polanski, le Mankiewicz et le Fritz Lang, programmation de folie au cinéma rue Champollion, je vais passer ma semaine dans ses rouges et bleus fauteuils moelleux.

Du coup, cet après-midi:


Je ne sais pas qui de Nastassia Kinski ou de la lumière magnifiquement saisie irradie le plus, mais tout ce qui est porté au devant de cette caméra ou auprès de cette actrice, qu'en sais-je, parait soudainement gracieux. Le moindre élément de décor, le moindre froissement d'étoffe. L'infinie tristesse qui s'en dégage aussi, creusant le coeur à mesure que les malheurs s'entassent, m'a fait sortir de la salle un peu égarée.
Mais c'est beau, très beau.

Tess est un beau film sensible - tourné à Locronan (Finistère) me semble-t-il.

Enfin, peu importe.

Cinéma académique et propret, Colin Firth mi-moineau mi-monarque, et gentilles blagues d'orthophoniste : j'attribue un élégant 6,6/10.

Pas vraiment un film, plutôt un concert filmé :



The Rolling Stones - Ladies And Gentlemen

Filmé pendant la tournée US de 1972 (celle pour promouvoir Exile, donc). Le film est monté à partir de deux concerts au Texas.
Avec les cheveux longs de Charlie Watts, et Mick Taylor à la seconde guitare.

Y a de vraiment chouettes moments (notamment un Can't Always Get What You Want d'anthologie), mais c'est un peu lent à démarrer, on les sent parfois un peu mous. Sauf Charlie, évidemment : ce type est le plus grand batteur du monde !